Mon TOP~200 (positions 131 à 135)
131- You outta know – Alanis Morissette (1995)D’abord, il y eu le choc entre l’Alanis première cuvée et the brand new miss Morissette : à positivement tomber sul’cul. Ensuite… je me souviens d’être en voiture avec ma cousine Sophie pendant qu’Alanis crache sa hargne sur son ex... on trouve la toune ben bonne, elle et moi, on traduit/décortique les paroles, on se dit que ça doit tellement être défoulant de chanter ça, et on se dit que c’est don vrai que les gars sont comme ci, et sont comme ça, et tralala… Et chaque fois je revois Sophie faire un geste de chat qui griffe en chantant avec Alanis… And every time I scratch my nails down someone else's back I hope you feel it !
132- Marooned – Pink Floyd (1994)
La première fois que mes oreilles sont entrées en contact avec cette pièce magistrale, j’ai dû arrêter tout ce que je pouvais bien faire d’autre… pour me concentrer. Pour ne faire que ça : écouter. Puis, j’ai attrapé mon dico anglais/français, et j’ai cherché ce que voulait dire marooned… Abandonné. Rarement ai-je vu/entendu une toune aussi bien porter son titre. On a beau être d’excellente humeur, joyeux, guilleret, la totale, quand on entend les goélands, au début, et puis le cri de la guitare… ouf. Ici...
P.S. Si les guitares éprouvent des sentiments, celle de David Gilmour doit être en orgasme permanent.
La première fois que mes oreilles sont entrées en contact avec cette pièce magistrale, j’ai dû arrêter tout ce que je pouvais bien faire d’autre… pour me concentrer. Pour ne faire que ça : écouter. Puis, j’ai attrapé mon dico anglais/français, et j’ai cherché ce que voulait dire marooned… Abandonné. Rarement ai-je vu/entendu une toune aussi bien porter son titre. On a beau être d’excellente humeur, joyeux, guilleret, la totale, quand on entend les goélands, au début, et puis le cri de la guitare… ouf. Ici...
P.S. Si les guitares éprouvent des sentiments, celle de David Gilmour doit être en orgasme permanent.
134- Eyes of a stranger – Payolas (1982)Ah là, ici, on parle d’un beat irrésistible : dès les premières notes, je viens toute chose, je suis prise d’un incontrôlable besoin de me gigoter le popotin tout en crissant l’son dans l’fond. Je connais toutes les p’tites passes de drum par cœur (surtout celles de la fin), pis j’me pense ben bonne quand j’les joue dans l’vide comme une tarte. Yeah ! ;o) Ici...
135- The wonder of you – Elvis Presley (1970)Ah là... là on parle du King. Dont je vous ai déjà d’ailleurs parlé ici. The wonder of you, c’est une merveilleuse mélodie, qui dit tout ce n’importe qui aimerait tellement se faire dire, c’est aussi mon père qui siffle aussitôt qu’il en entend les premières notes, et Elvis… Elvis c’est toute mon enfance heureuse. Rien d’autre à dire, puisque ça dit tout. :o) Ici...