samedi 30 juin 2007

(ceci n'est pas mon centième message)

(faites comme si je n'avais rien écrit... je voulais seulement vous dire que mon fucking déménagement est terminé... enfin, tout est déménagé, toute la pizza a été mangée, toute la bière a été bue, reste maintenant la phase défaisage de boîtes et rangement efficace... les minounes sont un tantinet traumatisées, et leur maîtresse itou... astie que j'haguis déménager, j'vous l'ai-tu dit ? ... alors ceci n'était pas mon centième message, qui lui sera publié dans deux jours... je vous laisse et m'en vais préparer mon premier dodo dans mon nouveau maison...)

mardi 26 juin 2007

Multi-Post

Saint-Jean somme toute tranquille (comparativement à celles de ma jeunesse). Le 24 j’ai passé un après-midi très plaisant en compagnie de Valérie-Ann, de sa toutite Kimie et de sa filleule DeyDey. Nous nous sommes offert tout un bain de foule… j’ai eu ma dose de monde agglutiné pour au moins les trois prochains mois. Nous avons aussi eu la chance (j’en revenais pas qu’on y trouve de la place) de prendre une petite limonade sur la terrasse de Jeune Homme ! Qui, le peu de temps qu’on a pu se jaser, m’a donné l’goût de le revoir plus… calmement (c’est vraiment la folie, le Vieux-Québec !). Je suis tombée amoureuse, aussi. De la toutite Kimie-Ann… les yeux de cette enfant là, c’est délirant ! Et elle est fine, elle est drôle, elle est quiouuuuute ! Quant à Valérie-Ann… chère, je ne suis pas prête d’oublier ton regard pétillant et ton sourire franc. Et que dire de ta tarte au sucre ? Menoum.
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Hier, c’était la fête à matante Thérèse. Paternel, Mouman et moi sommes donc allés fêter ses fringuants 76 ans avec elle et matante Louisette, au chalet de Berthier-sur-Mer (j’vous reparlerai de ce p’tit paradis). Matante Thérèse a ce chalet depuis plus de 20 ans, et traditionnellement, tout le monde va souper à la brasserie Hagar de Montmagny quelques fois dans l’été. C’est là que nous avons mangé pour fêter ça, donc, pratiquement tout seuls dans le restaurant. Je n’étais pas assise (dans un tôrrieuse de chaise à bras anti-gros, grrrr) depuis dix minutes que la même drôle de pensée tournoyait dans ma tête : «parle de sa sœur à la serveuse, parle-lui de sa sœur». La serveuse que je ne connais absolument pas, au fait. Alors crounch-crounch dans les célèbres oignons français de la place en me demandant c’est quoi l’rapport de cette drôle de pensée… Quand finalement je trouve un prétexte et je demande à la serveuse : «Votre visage me dit quelque chose… vous n’auriez pas une sœur de 35 ans, par hasard ?» Et là, la serveuse est venue les yeux pleins d’eau.
«-Oui ! Mona, elle aurait 35 ans, mais elle est décédée il y a deux ans…
-Oh, je suis désolée… je crois que je suis allée à l’école avec elle, serait-elle allée à la Polyvalente de Lévis, par hasard ?
-Oui !
-Ah ben, ça doit être là que je l’ai vue…»
Elle est retournée au bar en disant «probablement !» et a raconté ça à une amie qui était là, au bar. Elle semblait vraiment émue. Durant tout le repas elle passait derrière moi, me mettait la main sur l’épaule, s’inquiétant si j’avais assez d’eau, si mon steak était bon, et répétait «j’en reviens pas, j’en reviens pas…». À la fin du repas, elle s’est approchée de moi et m’a raconté que la veille, elle était chez sa mère, et que cette dernière lui a raconté un rêve bizarre. En cherchant un dictionnaire des rêves dans le tiroir où il a toujours été rangé, elle est plutôt tombée sur un petit carnet rempli de trucs écrits par sa sœur Mona. Des trucs personnels, dont quelques-uns écrits tout juste avant sa mort. Elle me racontait ça les yeux embués, la voix tremblotante. Et elle se demandait pourquoi elle retrouvait ça maintenant, à la place d’un autre livre (introuvable par ailleurs). Sa mère refusant de le lire, elle a ramené le petit carnet chez elle, avide de le lire mais un peu gênée, aussi.
«-Pis là toi, aujourd’hui, qui me parle d’elle… c’est un signe !
-Peut-être qu’elle essaie de vous communiquer quelque chose…
-Oui ! Peut-être qu’elle me dit que je peux lire son carnet… qu’elle VEUT que je lise son carnet…
-Peut-être…», fis-je avec un sourire et un haussement d’épaule.
Je n’ai pas voulu encourager une quelconque interprétation de ce qui venait de se passer là, bien que je sache pertinemment que la vie est remplie de petites choses bizarres, comme ça. Des p’tites affaires un peu inexplicables, qu’il n’est d’ailleurs nul besoin d’expliquer. Une forte pulsion m’a poussé à lui parler de sa sœur (alors que je ne savais même pas qu’elle en avait une), et de cela elle a tiré des conclusions qui lui faisaient visiblement du bien. Contente d’avoir écouté mon instinct… :o)
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Mon prochain post sera le quatre-vingt-dix-neuvième. Et le 2 juillet ça fera cinq mois que je blogue. Alors pour mon centième post, entre deux coups de pinceaux et trois boîtes, je compte bien revenir sur cette extraordinaire expérience qu’est la blogosphère.
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Bonne semaine, mes très chers vous autres !

samedi 23 juin 2007

Bonne fête Québec !


Ah, Québec... j’ai beau douter de la manière dont on va un jour y arriver, jamais je n’ai douté de ce que tu es : mon pays, ma patrie.
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Tes hivers ont beau me déprimer, il n’y a que tes printemps pour me ressusciter, il n’y a que tes étés pour m’enivrer, que tes automnes pour m’époustoufler.
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Je t’aime, Québec, parce que malgré toutes tes contradictions, tu tiens bon.
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Je nous aime, Québécois, parce qu’aucun de nos navrants réflexes de colonisés ne peut entamer notre fierté. Je nous aime même si je n’oublie pas que Saint-Jean-Baptiste est un berger… un gardien de moutons. Parce que nous aimer vraiment, Québécois, c’est aussi admettre nos faiblesses. Nous avons une mémoire… d’humain, qui oublie tous les coups d’chien. Qui oublie, ironiquement, que notre devise est «Je me souviens».
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Tu es un pays neuf, Québec, quelques centaines d’années à peine. Un jeunot qui après avoir appris à marcher, commence à comprendre que pour rester debout, il ne faut pas se laisser marcher sur les pieds. Ton histoire commence tout juste, Québec, et tu as de beaux atouts dans ton jeu. Tu es riche d’or bleu, de terres saines et de rivières poissonneuses, riche d’une langue unique au monde, imagée et chantante, riche enfin d’un peuple distinct, résistant, débrouillard et fier. Tu as tout pour toi, Québec, quand donc le comprendras-tu ?
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Mon Québec, je te veux souverain, parce qu’en ton essence tu es tout sauf canadien.
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Bonne fête, mon pays !

vendredi 22 juin 2007

Le septième

Le premier… c’était le 16 novembre 1997. J’avais 25 ans et… il était temps, sinon j’allais faire une Tanguye de moi-même. Mon premier appart avec mon premier vrai chum. Pour couper le cordon encore plus symboliquement, ce fut vers Québec que je déménageai… mais pas pour longtemps. Faut croire que le cordon était plus solide que j'pensais.
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Le deuxième, onze mois plus tard, j’avais gagné un gros point : on s’en allait sur la rive sud, à Saint-Nicolas. Pour le Mari, pur enfant du bitume, c’était tout nouveau… et pas forcément tout beau. Le logement le plus plaisant que j’aie jamais eu, une fenêtre en face de l’évier, le soleil toute la journée, de grandes pièces, mais… c’est aussi là que ça a commencé à dégénérer avec le Mari.
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Le troisième, en juillet 2000, on s’est enfoncé encore plus loin dans la banlieue-dortoir, rue de la Montagne. Dont la dite montagne s’était d’ailleurs effondrée sur plusieurs maisons l’année d’avant. Était-ce un signe ? Huit mois plus tard c’est sur notre mariage que la montagne s’écroulait.
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Le quatrième, 31 mars 2001, le Grand Départ vers la Grande Ville, tant redoutée et pourtant tellement rêvée. Tout est allé très (trop) vite, et j’emménageais dans un bachelor à LaSalle. Ce qui m’a permis d’apprendre que plus jamais je n’habiterais un sous-sol. Peuh.
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Puis, le cinquième, six mois plus tard, un logement trouvé par l’Amant, rue voisine de la sienne, à Verdun. Pratique pour lui, et relatif bien-être pour moi. Un beau petit trois et demi voisin de trois églises (si si, trois églises dans un périmètre de moins de 500 mètres carrés), de la bibliothèque municipale et tout près du fleuve. Pendant presque quatre ans je me suis appliquée à être une bonne verdunoise, pour enfin admettre que jamais je ne me ferais à la Grande Ville. Que j’étais une Lévisienne, quoiqu’il advienne.
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Le sixième, fin juin 2005, je quittais Montréal, la larme à l’œil même si vivement soulagée. Tant de choses vécues sur cette île… tant de choses. Tant de gens appréciés… aimés. Tant. Atterrie dans un petit deux et demi trouvé à la va-vite lors d’une visite à Lévis, le mois d’avant. Le plus petit logement que j’ai jamais eu, ce qui m’a permis d’apprendre que plus jamais je n’habiterais un deux et demi. Manque d’air.
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Le septième… dans moins d’une semaine. Sur la rue même des 25 premières années de ma vie, comme si on bouclait la boucle. À très exacte distance entre le logis où j’ai été faite et celui qui m’a vue naître, avec vue sur le clocher (désaffecté) de l’église où j’ai été baptisée. Un tout petit mais si mignon trois et demi, sur deux étages, au milieu de tout, avec une belle galerie (c’est Toto-le-plant-de-tomates qui va être content !). Curieusement, plus de dix ans après avoir quitté mes parents, j’ai la très nette (et plutôt bizarre) sensation d’emménager dans mon premier appartement. Et sans trop savoir d’où ça vient, je sens très clairement que je ne fais pas que déménager, dans quelques jours. Je change de vie, aussi. En quoi et jusqu’où, ça, je ne sais… Mais j’ai hâte ! :o)

J'ai trouvé...

Lu dans les petites annonces de Voir Montréal:
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Jeune professionnel 40ans 5'9", 200lbs, musclé, très à l'aise financièrement, présentement en prison, cherche très jolie femme de 22 à 28 ans, athlétique, mince et très cute, sexy, intelligente, avec un très beau sourire, pour développer une relation sérieuse. Si tu cherches un homme qui prendra soin de toi, je suis l'homme qu'il te faut. Envoie-moi photo et coordonnées à CP 60576, succ. Ste-Catherine, Mtl H1V 3T8
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C'est pour moi, non ? Hé hé hé (rire hyper-sardonique).

mercredi 20 juin 2007

Multi-Post

Une sombre affaire mettant en cause un bloggeur, Chris Hand, qui n’a rien fait d’autre qu’exprimer son opinion personnelle sur un cas connu et documenté par des médias d’envergure. Qui se retrouve le blog suspendu et les mises en demeure au cul. Le Gentil Felquiste a résumé avec beaucoup d’aplomb l’actuelle situation. On lit ici et ici.
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Je suis outrée. Paternel et moi sommes allés ce matin au cimetière, saluer nos morts et récupérer le bouquet qui ornait (remarquez l’imparfait) la pierre tombale de mes grands-parents, afin d’en changer les fleurs. Stupéfaction à notre arrivée : le bouquet a disparu. Il n’est pas parti au vent, bien arrimé sur le dessus de la pierre tombale comme il l’était. Et il y était encore il n’y a pas deux semaines. Il a donc été volé, selon toute vraisemblance. Comment peut-on vouloir rendre hommage à quelqu’un qu’on aime en volant un bouquet sur une autre tombe ? Zéro respect. Zéro valeurs. Shame on you.
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Sur un ton plus léger, hier, première baignade de l’été, dans la piscine des parents de Jo (mon oncle et ma tante, en l’occurrence). L’eau à 77°, et la piscine trop profonde pour s’acclimater tranquillement avant d’arriver au point critique : le «dessours» de seins. Sainte-Gougoune que c’est pas facile de tremper doucement ce coin-là, le choc à chaque fois ! La solution consiste donc à prendre un grand respir et d’y aller d’une claque. Intense mais rafraîchissant ! Et me voilà avec (déjà) des marques de brettelles sur les épaules… Vive l’été, youhou ! :o)
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Quand j’ai eu fini d’écrire mon roman, fin juillet 2006, je m’étais dit que je le relirais sûrement pour corriger les fautes, mais qu’après, je n’y toucherais plus. Ou pas avant longtemps. C’est que cette histoire m’est sortie du corps assez douloureusement, et je n’étais pas certaine d’avoir le goût de m’y retremper. Pourtant, depuis quelques jours, je me surprends à réfléchir à certains aspects de l’histoire que je sais devoir être améliorés, et j’ai même remis le manuscrit sur ma table de travail. Je pense publier ce texte somme toute assez court (100 pages à simple interligne) deux pages à la fois, à intervalles réguliers. Même si la coupure dans le texte doit être assez drastique. Il m’est d’ailleurs venue une image de mon enfance… mon professeur de sixième année, Monsieur Moreau, nous faisait la lecture chaque vendredi après-midi. "L’aigle rouge", que ça s’appelait. Aucune idée de l’auteur, d’ailleurs. Je me souviens seulement de ce grand homme à la charpente solide et au bedon proéminent, toujours très digne dans son complet-cravate (tous les jours où il enseignait, oui oui), avec sa voix de stentor, qui nous lisait un nombre invariable de pages, ni plus ni moins, peu importe comment se terminait le dernier passage. Même s’il était en plein milieu d’une scène particulièrement captivante, notre professeur s’arrêtait le temps venu, un sourire un peu crasse aux lèvres, ravi de notre attention (un vendredi après-midi, fasciner une classe complète de sixième année, faut l’faire), et répétant, chaque fois : la suite vendredi prochain ! Comme ça nous frustrait ! Pourtant, jamais il ne nous serait passé par l’idée de lire le livre par nous-mêmes, cela nous aurait privés de ce moment magique… Enfin, tout ça pour dire que je vais m’en tenir au même nombre de pages à chaque publication, même si pour cela je dois m’arrêter en plein milieu d’une scène ou d’un dialogue. Je n’ose pas croire que je créerai le même engouement que Monsieur Moreau, loin s’en faut, mais cela me semble une bonne manière de soutenir l’intérêt (si jamais il y en avait). :o)

lundi 18 juin 2007

Mon Papa (un peu en r'tard)

Papa... tu es le roc de ma vie. La personne la plus fiable que je connaisse, et la plus débrouillarde. Et la plus solide. Autrement dit, tu es le meilleur des pères !

samedi 16 juin 2007

Montréal...


...elle ne me manque pas. Surtout pas en un jour aussi chaud. Mais... j'ai beau y avoir habité pendant quatre ans et demi, je ne la connais pas tant que ça. Tant de choses d'elle que je n'ai pu voir, pour une raison ou pour une autre... Jamais mangé chez Schwartz. Jamais vu le Mont Royal de proche. Ni l'Oratoire Saint-Joseph. Ni les cimetières que j'aurais pourtant tellement voulu visiter. Ni le Casino. Pas visité le Musée d'art contemporain, ni celui des Beaux-Arts. Ni mangé dans tous ces restaurants ethniques alléchants. Pas vu les feux d'artifices. Pas réussi à trouver la fontaine du film Eldorado. Jamais su où était exactement ce bord de fleuve qui est surutilisé dans les vues pour montrer la ville dans toute sa splendeur.
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Il y a au moins quelque chose de positif à tous ces "jamais": cette île recèle encore pour moi des tas de surprises, à éventuellement découvrir avec ma main dans celle de... de... de......... ? :o)

vendredi 15 juin 2007

Multi-Post

Again, oui. Y'a des jours, comme ça, où il arrive juste des petites choses, mais plein de petites choses, alors ça donne... un Multi-Post !
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D'abord je voudrais vous dire ceci: j'aime vous lire, qui que vous soyez. Et quoi que vous ayez bien pu vous faire entre vous. Certains blogueurs se connaissent, s'aiment, ou bien se détestent, se méfient les uns des autres. Grand bien vous en fasse. Moi, personne ne m'a rien fait, et jusqu'à preuve du contraire, on est dans un pays libre. Tout l'monde a donc le droit de s'exprimer, de faire valoir ses opinions même si ces dernières ne se rallient pas la majorité. Tsé, quand les personnages d'une série télé me tapent tellement sur la rotule que j'envisage sortir mon batte de baseball, ben... je cesse d'écouter cette émission. Ça m'est arrivé avec La Galère et la deuxième saison des Invincibles. J'ai la même réaction avec les blogues: m'énarve ? J'lis pus. Sans faire d'esclandre, sans crier au meurtre, sans pointer du doigt qui que ce soit. Le lecteur a presque tous les droits, dont celui, souverain, de ne pas lire. C'est pas une raison pour empêcher les autres d'écrire, parzemple.
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Et, au fait: je comprends le désir de faire écouter sa musique à nos lecteurs, mais maudit qu'ça m'énarve les blogues qui s'prennent pour un orchestre ! J'écoute déjà de la musique quand je surfe, alors vous imaginez la superposition pas toujours réussie ? On dirait un DJ sur l'acide et le Bailey's simultanément. Et le temps que je trouve l'astie d'piton pour lui fermer la trappe, j'viens toute mêlée dans mon fil de souris ! ;o)
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Ces temps-ci, je me bidonne à retardement. Petite-cousine Marie m'a fait découvrir un plaisir extrême. Je n'avais pas écouté cette parodie de feuilleton, à l'époque de sa diffusion, à cause d'un conflit d'horaire avec Rumeurs (dont l'auteure vient d'ailleurs d'annoncer le suicide). Bref, moi qui adore pourtant Marc Labrèche, je n'avais jamais goûté la douce folie du Coeur a ses raisons. Marie m'a donc gracieusement prêté ses deux coffrets DVD, et je ris, mais je ris ! Surtout en visionnant les extras-bloopers, vraiment vachement drôle !
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Truc Touski de la semaine: des pâtes de pizza mince de blé entier (4 grammes de fibres par pâte, quand même !), qui se congèlent (et se décongèlent) très bien, qui cuisent en 15 minutes (le temps de faire la vaisselle salie pour la préparer). Et en matière de garnitures, sky is the limit ! Exemples ? Reste de poulet cuit sur sauce BBQ garni d'oignon rouge, de poivron rouge en cubes et de fromage suisse. Crevettes cuites sur sauce pour pâte Alfredo garnies de champignons frais, de câpres et de chèvre. Beurre, épinards, tomates fraîches, poivron jaune en lanières et monterey jack. Jambon cuit sur sauce tomates-basilic maison garni d'ananas, d'échalottes et de mozzarella... bref, le support Touski santé parfait !

jeudi 14 juin 2007

Le questionnaire à CaroG !

Ce questionnaire a été créé dans l’unique but (ou presque) de tagger Valérie-Ann et Marc-André, qui se désolaient à mots couverts de ne pas avoir été touchés par la récente vague de tag. Allez-y, il est juste pour vous ! ;o)

1. Le livre que vous êtes le plus gêné d’avoir lu ?
La saga des chasseurs de mammouth, de Jean Auel. J’aurais jamais cru que pouvait exister une saga préhistorique… féministe. Faut l’faire, quand même !

2. Le disque que vous êtes le plus gêné d’avoir sur vos tablettes ?
Non, je n’ai pas de CD de Corneille. Dans mon cas, c’est plus des cassettes gênantes… comme Brighton Rock (un obscur groupe rock canadien des années 80), ou The Final Countdown, de Europe (de la même époque…). Disons qu’il fut un temps, pas si lointain, où mon intérêt marqué pour la musique de ma jeunesse (vous l’aurez deviné, les 80’s) me gênait profondément. Mais plus maintenant. D’une part, j’ai cessé d’être gênée de ce que je suis, et d’autre part, je ne suis vraiment pas la seule à aimer encore la musique de mon jeune temps, alors c’est moins gênant !

3. Vous gagnez 3 millions de dollars. Quelles sont vos priorités ?
Encaisser le chèque. Donner un million à mes parents, 500 000 à mon frère, plusieurs milliers à Mel, des fonds d’épargne-études pour Vivi et Marie. Payer mes dettes. Une maison en Gaspésie, un char, du linge, des chaussures. Refaire ma discothèque et ma bibliothèque. Dévaliser Omer De Serres. Ensuite… profiter de la vie, tout simplement et sans angoisse financière (le bonheur, quoi).

4. Vous êtes une saison. Laquelle et pourquoi ?
L’automne. Parce que c’est beau pis qu’ça sent bon. Par contre, ça précède l’hiver, ce qui est moins l’fun.

5. De quel guitariste aimeriez-vous être la guitare ?
David Gilmour. Steve Vai. Ingwie Malmsteen (mais ça doit chatouiller, à la vitesse où il joue). Colin James.

6. Votre dessus de toast préféré, le matin ?
Beurre de pinottes crémeux Kraft... pas une autre sorte, juste celle-là. Marmelade. Nutella (même si il n’y a pas de Nutella chez-moi… j’en profite en visite !).

7. Cinq choses qui ne sont absolument pas négociables dans votre vie ?
a) Mes chats. Paternel m’a déjà demandé : «Ouin, mais si t’avais un chum allergique aux chats ?» Bah, répondis-je, il se mettra sur le Réactine en intraveineuse !
b) La propreté. J’ai horreur d’être négligée, de vivre dans un environnement négligé, de côtoyer des gens négligés.
c) La musique. Peut juste pas vivre sans.
d) L’eau. Peut juste pas vivre loin.
e) La solitude. Pas totale, ni permanente, mais sporadique, et essentielle.

8. Votre plus grand fantasme… musical ?
Un show-fleuve extérieur (genre Woodstock en Beauce) mettant à l’affiche les artistes que j’aime le plus : Peter Gabriel, Daniel Lanois, Marillion, Colin James, The Tea Party, Tool / A Perfect Circle… Oh que ça serait une belle fin de semaine, ça !

9. Dentyne Giga Exxxxtrême avec feux d’artifices ou Juicy Fruit ?
Juicy Fruit ! Je suis tellement sensible de la papille que si je mâche juste une gomme à la cannelle, il me pousse un ulcère !

10. Un génie vous donne la possibilité d’effacer un seul fait de votre histoire personnelle et toutes ses conséquences, lequel choisiriez-vous ?
Il n’y a encore pas très longtemps, j’aurais volontiers effacé la deuxième moitié de 2003 de mon épopée personnelle. Mais là… je me rends compte à quel point tout ce que j’ai vécu a changé ma vie, et positivement, en définitive. Alors vraiment, je ne changerais rien du tout.

11. Ce même génie, un peu pervers, vous change de sexe pour 24 heures. Vous en profitez pour faire quoi ?
Ah ! La première affaire : je me mets en bedaine et je pisse deboutte ! Maudit que j’envie donc ces deux trucs aux mecs… surtout en camping sauvage ! Ensuite, je m’arrangerais pour passer les heures restantes à faire quelques galipettes… j’ai toujours voulu savoir quel effet ça fait, cet appendice extérieur au corps qui se tend vers le ciel, gonflé de désir…

12. Ce génie, parti sur sa lancée, vous offre d’assister à un événement historique, lequel choisiriez-vous ?
Oh boy, quelle question ! Qui c’est qui a écrit de fichu questionnaire, don ? Ah, oui, c’est moi… Alors, euh, hum… il y a tant de choix ! Juste un ? Bon, je sais, ça va avoir l’air superficiel, mais j’m’en fous : j’aurais aimé être dans la salle de bain où Elvis est présumément mort. Juste pour voir.

Nouvelle démographique du jour

Lu sur Cyberpresse:

«En Chine, il y a présentement 25 millions d’hommes qui n’arrivent pas à trouver d’épouse parce qu’il n’y a plus assez de femmes», explique Steven Mosher, président du Population Research Institute à Washington, D.C. «Les jeunes hommes émigrent. Ils ont plus de chances de trouver une conjointe à l’étranger»...

Comme au Québec, genre ?
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Et surtout, ne me demandez pas ce que je pense de la Chine qui vend ses filles aux plus offrants.

samedi 9 juin 2007

Sexisme et discrimination… postmodernes

Vous écoutez la télé ? Moi, vraiment pas beaucoup. Mais j'ai quand même eu l'occasion de rester perplexe devant une publicité (ok, c'est pas les occasions qui manquent de se sentir perplexe devant une pub, j'avoue). Une annonce de pizza, donc, qui joue ces temps-ci, où des éphèbes de toutes les cultures font une démonstration des saveurs à une belle grande blonde devant les congélateurs de l’épicerie… pub qui se termine sur l’image édifiante d’une grosse Noire qui se précipite, la bave aux babines, sur les congélateurs pleins de pizza mais comme par magie débarrassés des adonis. Où est la Ligue des Noirs qui badtrippait des ballounes sur le sketch pourtant inoffensif des Têtes à Claques ? Où est la Ligue de défense de la Toutoune ? Ouin, bon, ça, ça existe pas (encore). À voir l’explosion d’obésité, ça devrait plus tarder.
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Pour rester dans la publicité, que dire de ces annonces de Whiskas ? Toujours un homme joue le chat et une femme la maîtresse. Imaginez la crise d’apoplexie des féministes si l’on voyait une femme dans le rôle de la chatte en chaleur et affamée et l’homme dans le rôle du maître qui refuse de nourrir la bête ? Saigneur, je les entends hurler d’ici !
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Je me souviens aussi d’une annonce… une femme dans un ascenseur plein d’hommes en complet-cravate au départ, et puis en bobettes-muscles à l’arrivée. C’était une annonce de bas nylons, ou de parfum, m’en rappelle plus. Me rappelle juste m’être dit : « Le scandale si c’avait été le contraire, le gars habillé et toutes les filles tout nues ! »
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Les exemples ne manquent pas de ce sexisme à l’envers de plus en plus populaire. Un parmi tant d’autres a attiré l’attention de quelques blogueurs, récemment : les gymnases exclusivement réservés aux femmes. Je comprends le désir des ces femmes de s’entraîner entre elles, mais n’est-ce pas là une forme d’auto-ghettoïsation ? Si des hommes les avaient carrément expulsées d’un gym sous prétexte qu’ils préfèrent s’entraîner entre eux… le tollé, vous dites ?
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Pour un exemple encore plus simple… j’ai beaucoup ri une joke publiée par Valérie-Ann, mais j’ai pas pu m’empêcher de me dire qu’elle aurait assurément crié au meurtre si elle avait lu ailleurs la même joke avec une femme à la place du gars et vice-versa… Surtout, ne le prends pas mal, Val, mais avoue… t’aurais jumpé, non ? Moi oui, entoucas.
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J’avais le même malaise à la plume en écrivant De l’égalité : je ne comprends pas que la justice soit un concept à géométrie variable. Ça me fait penser à l’expression « faites c’que j’dis, faites pas c’que j’fais ». Comme si l’injustice envers les femmes était mille fois pire que l’injustice envers les hommes. Heûûllo ? Une injustice est une injustice, peu importe envers qui, bâzwell !
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On dirait que la mode est à la discrimination de la masse par une minorité. Tu veux te baigner dans ta piscine municipale, disons, le mercredi après-midi ? Just too bad, mon grand, c’est réservé aux femmes voilées. T’es straight, t’as des amis gais, vous sortez, vous voulez vous amuser, un bar gai vous interdit l’entrée ? So sorry, mon chou, pas d’hétéros dans not’ ghetto ! Viens jamais m’interdire l’entrée de ton bar straight, parzemple, parce que ça, ça serait de la discrimination fifienne, pis j’alerterais tous les médias de l’univers ! Nous hurlons au monde entier de nous accepter, mais nous, on vous accepte pas, gnan !
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Eille, wô les moteurs, what the hell ?!??! C’est quoi, cette idée, à la fin ? Les ostracisés veulent se venger ? Les femmes veulent faire goûter aux hommes leur propre médecine ? Comme disait l’autre, quosse ça donne ? Œil pour œil, dent pour dent ? Oh la belle société évoluée ! Tu m’as bafouée, je te bafoue ! Tu m’as discriminé, je te discrimine, pfff ! C’est don ben niaiseux, ça ? Pis c’est don ben pas une solution ?
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J’peux pas croire… non, j’peux juste pas.

mercredi 6 juin 2007

Production du week-end

Lazy lézard Abstraction bleue

Déesse du vent

dimanche 3 juin 2007

Tag-mania...

Bon. J'aime les questionnaires, vous l'savez, mais trop, c'comme pas assez ! Ça fait que celui-ci est le dernier... pour un p'tit boutte ! :o)
C'est la Princesse Whakya qui m’a taggée… et même si la plupart des réponses se retrouvent déjà dans mon profil, je le remplis pareil, ce questionnaire un peu platte (m’excuse, Princesse, mais c’est vrai !) (tention, ma tête !) (booooring) (*baille en se protégeant le cou de la guillotine intempestive de la Princesse)

Quatre emplois que j'ai fait dans ma vie:
1. Assistante-gérante dans un magasin de disque
2. Caissière de dépanneur
3. Assistante de directrice de département d’université
4. Réviseure linguistique
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Quatre films que j'écouterais encore et encore :
1. Le secret est dans la sauce
2. Dracula (celui de Coppola)
3. Eldorado
4. Walk the line
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Quatre groupes/chanteurs/styles de musique :
1. Peter Gabriel
2. Daniel Lanois
3. Le progressif
4. Maynard James Keenan (Tool et Perfect Circle)
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Quatre livres/magazines/genres littéraires
1. John Irving (sauf son premier et son dernier)
2. Tous les genres de magazine, ou presque
3. Daniel Pennac (juste la saga Malaussène et « Comme un roman »)
4. Christian Mistral
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Quatre endroits où j'ai vécu :
1. Lévis (et Dieu merci, j’y suis revenue !)
2. Québec (Dieu merci, juste 11 mois !)
3. LaSalle (6 mois à peine…)
4. Verdun (4 ans, quand même !)
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Quatre émissions de télé que je regarde :
Euh… ces temps-ci, à part le Fric Show, euh… rien du tout !
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Quatre places où je suis déjà allé en vacances:
1. Gaspésie
2. Gaspésie
3. Gaspésie
4. Gaspésie
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Chaque fois (ou presque) que je navigue sur internet:
1. Mes blogues préférés
2. Cyberpresse
3. Google Analystics
4. Mon blogue
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Quatre mets que je ne mangerais jamais...
1. Du cheval
2. Des insectes
3. Du chien
4. Du chat (je prie seulement pour n’en n’avoir jamais mangé sans le savoir dans un buffet… eurk !)
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Mes quatre plats favoris:
1. Le rôsbeeef de ma Mouman
2. La lasagne de ma Mouman
3. Mon ragoût d’patte
4. Sushis (cherchez l’intrus culturel !)
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Quatre type d'alcool/autres :
1. Bailey’s
2. Amaretto
3. Amarulla
4. Schnapps (cherchez le point commun ?)
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Quatre endroits ou j'aimerais être en ce moment :
1. Dans les bras de… de… de… ?
2. En Gasp….. oui !
3. Sur le bord de l’eau, n’importe quelle eau (un bain, à la rigueur)
4. Dans une usine de chocolat sans sucre

vendredi 1 juin 2007

Encooooooooore !

Celui-là, je l’ai pris chez la coquette Princesse Whakya (que je salue au passage !).

Alors, comme promis, je tague moissi (moissi moissiiiiii !).
J’aimerais lire le résultat de ce questionnaire chez :
Mentana Jones
Jeune Homme
Le gentil Felquiste

Saffèke… go les ti-gars !
Les non-tagués peuvent le faire itou, hein ! ;o)

Ton imprimé préféré ?
Le genre indien, les magnifiques soies qu’on utilise pour confectionner les saris. J’adorerais porter un sari, d’ailleurs…

Ta prochaine destination voyage ?
Gaspésiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie ! Avoir le foin, je partirais pour l’Irlande. Ou l’Égypte. Ou la Tunisie. Ou les trois ensemble !

Ton personnage préféré de Disney ?
Sulley, de Monsters, Inc. J’en veux un !

Un cd que t’es acheté mais que tu n’as jamais vraiment écouté ?
Aucun. Quand j’ai les moyens d’acheter un CD, c’est que je le veux vraiment et que je l’écoute aller-retour !

Quelque chose que tu aimerais faire cet été ?
Me promener en char, dormir à la belle étoile, savourer un gros orage, me promener sur la rue Bégin (Lévis) en me pourléchant les babines d’un cornet des Chocolats Favoris (recouvert de VRAI chocolat artisanal : le délire), passer du temps sur le bord de l’eau...

Le nom de ton animal et pourquoi il s’appelle comme ça ?
Wati s’appelle Wati parce que mon homme de l’époque avait un chat qui s’appelait comme ça, et que je trouvais ça quioute.
Fripouille s’appelle Fripouille parce que la première fois que je l’ai vue, avec ses mitaines, je me suis dit, tiens, toi tu dois être toute une p’tite fripouille ! Et… j’avions raison.

Mots croisés ou lecture ?
Lecture. Je n’ai absolument pas la patience ni l’intérêt pour les mots croisés. Étonnant, d’ailleurs, quand on sait à quel point je trippe sur les mots…

Un jeu de société que tu détestes ?
Je ne déteste à ce jour aucun jeu de société. J’adore les jeux de société, en fait. Et les jeux de cartes, même si j’en connais pas beaucoup.

Qu’est-ce que tu chantes dans ta douche ?
Je ne chante pas sous ma douche; je fais des bulles.

Un mets que tu n’es pas capable de cuisiner mais que tu aimes ?
Pas tant que je ne suis pas capable de cuisiner, mais que j’aime moins faire : les poissons et fruits de mer. Je sais pas pourquoi, c’est toujours meilleur au restaurant !

La couleur de tes culottes en ce moment ?
*un instant, vérification*… Noires

Un prénom masculin que tu aimes?
Nathanaël

Une personne qui te tappe sur les nerfs dans ton entourage ?
Mon Paternel a une légère tendance à me faire jumper… parce qu’on se ressemble énormément.

Un journal ou magazine que tu lis très souvent ?
La Presse. Le journal de quartier. Toutes les revues auxquelles est abonnée ma bibliothèque municipale.

Une qualité secrète que tu as ?
Secrète ? Plein, mais je ne les connais pas : sont secrètes !

Un fruit que tu n’as jamais goûté ?
Une patente pleine de couleurs que j’ai vu l’autre fois au Jardin Mobile, j’me souviens même plus du nom, y’avait dedans « dragon », me semble… Entoucas, c’était spectaculairement beau, mais je ne sais pas si c’est bon !

Quel sera ton prochain achat ?
Je vais chez Omer De Serres, demain (yahou !).

Une personne que tu n’as pas vue depuis longtemps dont tu t’ennuies ?
Mon frère.

Un souvenir que tu aimes te remémorer ?
Les rares souvenirs que j’ai de mon enfance… un, en particulier : mon père a fait un feu, dans la cour arrière, nous sommes mon frère et moi étendus dans les chaises longues, enroulés par ma mère dans des couvertes de laine, et on s’endort tranquillement après s’être bourrés de mâchemôllows au son d’une cassette huit pistes de Engelbert Humperdinck…

5 raisons d’être ton ami(e) ?
Je suis douée d’une oreille bionique, je suis généreuse, enjouée, pleine de ressources et… pour les filles, pas de danger que je tente de vous emprunter du linge (par contre, vos sacoches… ah ha ) !

3 questions que tu te poses souvent ?
J’ai-tu des trucs pognés din dents ?
Jusqu’à quel point mes chats comprennent-ils ce que je leur dis, ce qui les entoure ?
Est-ce que je me pose trop de questions ?

J'ai été taguée !

Par le gentil Felquiste, sur un questionnaire des 7 péchés capitaux. Comme plusieurs d'entre vous l'ont déjà rempli, je vais taguer sur le prochain ! ;o)
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La Gourmandise:
Q : Qu’est-ce que vous consommez avec délectation et sans retenue, qui titille vos papilles gustatives même lorsque vous n’avez pas faim?
R : Du sucre. Je suis une bibitte à sucre. C’est tellement intense qu’il m’arrive de dire que le sucre est la pire drogue dont j’aurai eu à me sevrer…
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La Colère :
Q : Quelle est la situation qui vous fait sortir de vos gonds à tout coup, et que de là, une sérénade de mots sortis d’une église émanent de votre bouche?
R : Oh boy… vous aurez compris, lecteurs assidus (et même les occasionnels) que j’ai une p’tite tendance à avoir la mèche courte. Je suis prime, comme on dit, et bien que je me sois grandement améliorée et calmé l’pompon, plusieurs situations me font, disons… souffler du nez. Comme ? Une personne qui parque son panier dans l’allée, à l’épicerie, et qui se place à côté pour lire les étiquettes de trois-quatre produits, bloquant ainsi toute l’allée. Heûllo ? Z’êtes pas tout seul au monde, là ! Moi aussi, je lis les étiquettes, mais me semble que c’est pas dur de se placer derrière son panier et de vérifier qu’on ne nuit à personne ? Je n’ajouterai pas d’exemples, je pense que vous aurez bien compris mon genre d’impatience… ;o)
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L’envie :
Q : Devant quel type de personnes êtes vous le plus envieux?
R : Les gens qui ont beaucoup beaucoup d’argent. Que je pogne le zouf qui a dit que l’argent fait pas l’bonheur… il n’a sûrement jamais été pauvre, lui ! Je sais bien qu’une personne riche n’est pas heureuse pour autant… et sincèrement, je connais des gens bien nantis qui m’envient ma vie, à moi, la pauvre mais heureuse… N’empêche. Mon bonheur serait sûrement plus facile, disons, si je n’avais pas à me casser l’bicycle pour payer mes comptes. Et j’angoisserais évidemment moins à cause de mes fichues dettes. Je ne peux même pas me consoler en rêvant de gagner au 6/49, puisque je ne joue pas à la loterie. Mais c’pas grave. J’ai rien, je suis heureuse, et pis dans l’fond… puisque je n’ai rien, je n’ai rien à perdre, non ?
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L’avarice :
Q : Quel est le type d’objet inutile pour lequel vous pouvez le plus dépenser, sans compter?
R : Ah… les sacoches et les sacs. J’aime tellement ça, les sacs, qu’il m’est déjà arrivé de commander chez Yves Rocher juste pour avoir le sac qui venait avec la commande… Et aussi, tout ce qui est boîte, panier, coffre, j’adore ça, j’en ai plein, tellement que je cherche quoi mettre dedans !
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La Paresse :
Q : Quel est un moment typique de paresse extrême pour vous?
R : Hum. Aveu, ici : je suis d’une nature un brin paresseuse en partant… voire contemplative. Alors de la paresse extrême, euh… non, je vois pas. ;o)
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La Luxure:
Q : Quelles sont les choses les plus hot que vous avez fait face à cet aspect de votre vie?
R : Si vous me permettez, je vais censurer ceci (j’ai mon horreur, euh… honneur, quand même !).
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L’orgueil:
Q : Dans quelle situation votre orgueil touche le plafond?
R : Quand je sais que j’ai raison et que je fais face à quelqu’un qui croit avoir raison. Ça, ça m’fait capoter solide.
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Et puis tant qu’à faire, vu le lien entre les deux, j’ai aussi fait le test qui a circulé il y a quelques semaines… vous pouvez le faire, si ce n’est déjà fait, ici.
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D’après les statistiques, vous êtes dans la moyenne. N’ayez donc pas honte de vos vices…
Vos points: 68 sur 152
Résultat Global:45 %
La paresse: 50 %
La gourmandise: 45 %
L'avarice: 53 %
L'orgueil: 80 %
la luxure: 73 %
l'envie: 50 %
La colère: 21 %
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Je vous laisse là-dessus, je m’en vais remplir un autre questionnaire !