samedi 2 août 2008

Mon TOP~200 (positions 31 à 35)

31- Goodbye my love goodbye – Demis Roussos (1973)
Si I want to break free de Queen est la toune de ma mère, Goodbye my love goodbye, c’est la toune de mon père. Si le chanteur grec a la cote auprès de mon paternel, en général, cette pièce-ci le touche au point qu’il fout le son au fond quand il l’entend, et qu’il la sifflote régulièrement. Moi, ça me met toujours un peu la larme à l’œil, parce que j’écoute les paroles, et je ne peux m’empêcher de craindre ce jour inévitable où la mort séparera ces deux précieux êtres –mes parents- qui s’aiment autant, depuis plus de quarante-cinq ans… Ici...

32- Float on – Modest Mouse (2004)
Ce qui me séduit le plus de cette pièce ? Non, ce n’est pas juste la p’tite guitare punkette… non, ce n’est pas seulement l’accrocheuse mélodie… non, ce n’est pas juste la voix particulière d’Isaac Brock… non, ce n’est pas seulement l’excellent clip… Non. C’est l’implacable drum. Ça sonne comme une tonne de briques, surtout dans mes écouteurs quand je marche… Boum boum boum, tradaboum ! Ici...

33- All good thing’s (come to an end) – Nelly Furtado (2006)
À condition de NE PAS voir Nelly Furtado la chanter, cette chanson me plaît énormément. Le joli beat, d’abord, qui contraste un peu avec le propos… et le propos, justement, qui est d’une vérité… douloureuse. Ici...

34- My immortal – Evanescence (2003)
Tiens, une autre pièce au propos d’une douloureuse vérité… Prière de ne pas écouter en période de peine d’amour. Ou de Saint-Valentin en solitaire. Ou de soubresauts s-pé-m-miens. Ou bien alors justement, si, à écouter dans toutes ces situations, question de bien faire sortir le méchant. Parce que croyez-moi, ça fonctionne comme un charme, cette technique de maso. Tellement que j’ai du mal à l’écouter pendant que j’écris ces mots. Snif, oui. Ici...

35- Try – Blue Rodeo (1987)
Jim Cuddy a une voix qui se prête absolument au genre qu’il affectionne… le country rock. Et cette chanson (issue de leur tout premier album), qui les a comme qui dirait mis sur la mappe, en 1987, le démontre en beauté. Et on a ici un cas de pièce qui non seulement a bien vieilli, mais qui est carrément devenue un classique. C’est excellent, vraiment. Ici...