jeudi 31 juillet 2008

Mon TOP~200 (positions 36 à 40)

36- Machinehead – Bush (1994)
Ça, c’est vraiment MA toune de Bush. Nothing else à ajouter. Ici...

37- Power of one – Daniel Lanois (2003)
Daniel Lanois est à mes yeux un artiste complet, total: non seulement il crée, mais il inspire la création. Il est Québécois, il a réalisé et joué avec les plus grands (U2, Peter Gabriel, Brian Eno, The Neville Brothers), et l’ensemble de sa discographie figure en bonne place sur mes tablettes. Dans le cas de Power of one, ce qui m’accroche le plus, c’est… devinez ? La guitte, ben oui ! ;o) Ici...

38- Kiss you when it’s dangerous – Eight Seconds (1985)
One-hit-wonder d’un assez obscur groupe canadien, j’avais complètement oublié cette toune jusqu’à ce que Jo et moi on écume tous les palmarès des années 80 à la recherche, justement, de succès sortis de notre mémoire. J’avais vraiment oublié cette pièce, que pourtant j’avais adoré. Les premières secondes de guitare sont… comment dire… addictives. Voilà une toune des années 80 qui a bien vieilli, ce qui, ma foi, n’est pas si courant que ça. Ici...
39- Tin Pan Alley – Colin James (1999)
Je l’ai déjà dit en ces murs virtuels : si j’étais une danseuse, Tin Pan Alley serait ma chanson fétiche, assurément ! Si jamais l’envie de faire des galipettes me passait (plutôt improbable, mais sait-on jamais), j’aurais juste à passer cette pièce en boucle pour être guérie. Et si jamais j’ai la joie de revoir un jour le beau Colin en show, et qu’il joue cette torride toune, je… eh bien je… je ne réponds plus de moi. Voilà. ;o) Ici... (tention, c'est chaud !)
40- Round here – Counting Crows (1993)
J’avais beaucoup de misère avec ses cheveux (j’ose même pas imaginer ce que ça doit sentir), mais Adam Duritz me touchait vraiment… je ne sais pas, il se dégage quelque chose de terriblement émouvant de ce gars-là, une sensibilité exacerbée qui fait que chaque mot semble lui passer à travers le corps avant de sortir par sa bouche. Round here figure sur un des mes albums préférés à vie, August and everything after, et c’est à mon goût l’une des meilleures tounes de l’époque. Ici...