mercredi 13 août 2008

Mon TOP~200 (positions 16 à 20)

16- Carried away – Colin James (2000)
Voici une pièce légèrement atypique dans le répertoire de Colin, qui oscille habituellement entre le blues, le rock, le big band et la ballade/complainte (style d’ailleurs dans lequel il excelle). Carried away est d’un groove hallucinant, et il m’est totalement et viscéralement impossible de rester immobile quand j’entends ça. Yeah. Ici...

17- These eyes – Gowan (1997)
Tiens, encore une reprise que je préfère de loin à l’originale ! La vision que Lawrence Gowan a de These eyes est, comment dire… nettement plus sexy. Et tellement personnelle. Moi, les reprises calquées sur l’originale, ça m’emmerde. Tant qu’à reprendre une toune, emmène-moi ailleurs, montre-moi ce qu’elle te fait à toi, donne-lui une nouvelle dimension. Toutes choses que l’on retrouve dans ce cas-ci, et qui fait qu’il s’agit là d’une de mes chansons préférées du Canadien devenu chanteur… de Styx (oui, je sais, saugrenu... mais bon). Au fait, la douce guitare, vers la fin, vaut la peine de s’y rendre (à la fin, j’veux dire). Ici...

18- Pigeon – Jean Leloup (1996)
Encore issue de l’album Le dôme, Pigeon est sans contredit la toune de Leloup qui me fait le plus tripper. Il y a là une magie qui opère indéniablement entre le beat irrésistible et l’histoire que le Loup nous raconte. Ce don de savoir raconter une histoire, d’être capable de relater un fait, parfois plus ou moins anodin, en l’enjolivant, voire l’illuminant avec des mots qui transfigurent la réalité… bref, Leloup l’a, ça, et d’aplomb. Ici...

19- Moun Madinina – Mino Cinelu (2000)
2001... Mon premier été à Montréal… mon premier Festival de Jazz… nuit chaude et humide… parfaite pour la musique enivrante de Mino Cinelu… idéale pour la présence irradiante de ce magnifique musicien… souvenirs impérissables. Mmm. Ici...

20- Fumbling towards ecstasy (live) – Sarah McLachlan (1999)
J’aime bien l’ensemble de l’oeuvre de la jolie Canadienne, mais je ne l’apprécie jamais autant que quand ça distorsionne un p’tit peu, quand elle s’emporte et sort un tantinet de ce carcan de gentille fille sage qui est un peu (et à tort, je pense) sa marque de commerce. Et j’aimerais bien chanter, comme elle, qu’I won’t fear love… *soupiiiiir* Ici...