Mon TOP~200 (positions 21 à 25)
J’avais 17, 18 ans, et un ami, Louis, qui avait l’auto de son papa quand il voulait. Et il voulait souvent... à notre grand plaisir commun ! Une Pulsar NX grise, avec un T-Top… nous avons roulé des heures, à cette époque bénie où le gaz était encore achetable, et que nous étions totalement inconscients des effets néfastes de nos promenades sur l’environnement. Ce printemps-là, Spot you in a coalmine connaissait un grand succès radiophonique, et nous avions acheté la cassette juste pour nous la passer en boucle… *soupir* Ici...
22- Brother L.A. – Daniel Lanois (1993)
Cette excellente toune figure sur mon album favori de Lanois, For the beauty of Winona. Elle fait aussi partie des tounes dont je n’ai pas grand-chose à dire parce que trop occupée à écouter. Et à chanter. Et à jouer du air drum. Et à tripper. Ici... (Daniel Lanois qui, au fait, remporte ici la palme de la pochette de disque la plus étrange de l'univers...)
23- A different corner – George Michael (1986)
À ce que je saches, c’est une toune de George qui est pratiquement inconnue, mais à mon goût, c’est une des meilleures. J’allais au Couvent, je trippais sur un garçon dont je ne me souviens même plus le nom… chaque soir je me passais cette chanson en boucle en rêvassant de longues marches sur la plage, et de toutes ces niaiseries cucu-la-praline dont rêvent les flounes de 14 ans naïvement inexpérimentées de la vie réelle… *re-soupir* Ici...
24- The last straw – Marillion (1987)
N’allez jamais oser me demander de choisir quelle est MA toune de Marillion, parce que vous m’infligeriez un atroce supplice. Sans blague. The last straw, disons, serait dans mon TOP-5 des tounes du britannique band. Dont ce fut d’ailleurs le dernier album avec Fish comme chanteur. Mon boutte préféré de cette toune préférée, ce sont ces (pas assez longues) secondes, à la fin, où embarque la chanteuse Tessa Niles, dont la voix me donne plus que des frissons. En fait, si j’avais pu être chanteuse, c’est d’une voix comme ça dont j’aurais rêvé. Ici...
25- Walking in London – Concrete Blonde (1992)
Chanson titre d’un album dont je vous ai déjà parlé ici, Walking in London est la toune de Concrete Blonde qui les représente le mieux, je trouve. Un beat fort, une ambiance tendance gothique, une bonne grosse basse bien grasse, un texte un brin torturé si bien rendu par la un brin torturée Johnette… bref, c’est bon. Ici...