samedi 12 juillet 2008

Mon TOP~200 (positions 61 à 65)

61- Running up that hill – Kate Bush (1985)
Comme bien du monde, c’est grâce à Running up that hill que j’ai fait connaissance avec Kate Bush, dont je vous ai déjà d’ailleurs parlé ici. Je pourrais discourir longuement sur la belle anglaise, mais je ne ferais jamais mieux que le long article wikipédien qui lui est consacré : à lire, si vous êtes le moindrement intéressé par l’œuvre de cette magistrale artiste. Ici...

62- The Dolphin’s cry – Live (1999)
Live a longtemps été l’un de mes groupes préférés, dont je vous ai d’ailleurs jasé ici. Jusqu’en 2003, où cette pièce allait accompagner (voire initier) le moment plus intense, le plus rough, le plus rushant et déterminant de ma vie. À cause de cela, je ne peux plus entendre The Dolphin’s Cry sans être toute retournée et songeuse… Le clip est vraiment impressionnant... et légèrement paniquant. À voir. Ici...

63- Rollin’ & Scratchin’ – Daft Punk (1997)
Souvenir très précis: mon premier appartement, des murs en carton, les voisins d’en bas qui prouvent jour après jour à quel point ils peuvent être cons… La fois où j’en ai eu plein l’cul de leur crisse de musique platte à tue-tête, j’ai comme qui dirait pété une coche : j’ai disposé des grosses caisses de sons à plat ventre sur le plancher, j’ai inséré le disque de Daft Punk, j’ai programmé Rollin’ & Scratchin’ sur le repeat, et… j’ai côlissé l’son dans l’fond. Quin toé. J’vous mens pas, le plancher shakait jusque dans la cuisine, à l’autre bout de l’appart. Libérateur, yeah ! Ici...

64- Working Girl – How we Live (1987)
How We Live, c’était un projet commun de deux musiciens assez obscurs, à l’époque: Colin Woore et Steve Hogarth. Steve Hogarth, qui allait devenir deux ans plus tard le chanteur de… Marillion. D'ailleurs, quand je suis tombée sur cette toune sur Napster, à l'époque, je croyais que c’était une pièce de Marillion que je ne connaissais pas. C’est de la jolie petite pop inoffensive, rendue plus qu’intéressante par la voix si riche et si belle de Steve Hogarth. À fredonner un beau jour d’été… drette comme aujourd’hui. Ici...

65- The Noose – A Perfect Circle (2003)
Ça commence tout doucement, ça s’intensifie sans trop paraître, et à partir 3 :31… houlà que ce n’est plus vraiment tranquille. C’est le genre de toune dont je n’ai pas grand-chose à dire, parce que je suis trop occupée à l’écouter. Et à la réécouter. ;o) Ici...