Mon TOP~200 (positions 71 à 75)
Si ma mémoire est bonne (ce qui est relatif), Tonight est la première pièce de cet excellent album à avoir connu le succès. Même si je n’ai jamais été une fan finie de George Michael, j’adore sa voix, et surtout dans des chansons tristes comme celle-ci… Ici...
72- The show must go on – Queen (1991)
Cet album de Queen, leur dernier du vivant de Freddie Mercury, est non seulement mon préféré du groupe britannique, mais l’un de mes favoris tout court. Nous, on ne le savait pas, mais Freddie était mourant durant l’enregistrement de cet ultime disque, et rétrospectivement, ça paraît. Tant dans le propos, les textes, la musique que l’intensité de cette dernière, on entend distinctement Mercury faire ses adieux à la musique, à ses comparses de Queen, à ses fans… ses adieux à la vie, bref. Le numéro 72 de mon palmarès personnel clôt l’album Innuendo de magistrale façon, et le message est limpide : j’m’en vais, les amis, mais la vie continue. La vie continue. The show must go on. Ici...
73- Du hast – Rammstein (1997)
Ça, là, ça fesse tellement dans l’dash qu’à chaque fois que je l’entends, ma tête se met d’elle-même à se balancer d’avant en arrière, battant le rythme. C’est Du hast qui a mis le controversé groupe allemand sur la mappe, et c’est Du hast qui restera à jamais associé au nom Rammstein… du moins en Amérique. Je n’irais pas jusqu’à dire qu’il s’agit d’un one-hit-wonder, mais c’est pas loin. N’empêche (comme bien des one-hit-wonder, d’ailleurs), c’est bon en sacrebleu. Ici...
74- Wandering star – Portishead (1994)
Je vous précédemment parlé du petit magicien qui m’a si gentiment ouvert les portes de sa discothèque... Sylvain, son nom. Je le remercie, Sylvain, parce que c’est grâce à lui que j’ai fait connaissance avec Portishead. Cet album est entré dans ma vie de manière fracassante, passant des heures et des heures sur mes lecteurs, tant chez-moi que sur la route. J’ai passé tant d’heures à marcher Montréal avec ça dans les oreilles que pour moi, Portishead rime avec métropole. Chaque fois que j’entends cette chanson en particulier, il me revient des odeurs, des impressions, des images, des sensations de mes premiers mois à Montréal, ces jours bénis où tout était nouveau, tout était beau, tout était magnifié par ce regard neuf que j’y posais. Ici...
75- Where’s my thing – Rush (1991)
Il y a une autre toune de Rush à mon palmarès (ici), et je me rends compte seulement aujourd’hui que les deux sont instrumentales. Hasard ? Je ne sais pas. Une chose est certaine, Geddy Lee a une voix très particulière, qui peut parfois porter sur les nerfs, à haute dose… Une autre chose est aussi certaine, c’est que Rush est un trio de musiciens virtuoses, et que Where’s my thing en fait éloquemment démonstration. Ici...