Un autre p'tit coup ?
Je pense que je vais envoyer mes suggestions de Séparés à la naissance à la Presse...! ;o)
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Pitché dans la mare virtuelle par caroline.g
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137- Broken – Seether & Amy Lee (2002)
Broken était à l’origine une toune acoustique du groupe Seether, avant de devenir le duo plutôt électrique que l’on connaît. Et sachant à quel point la relation amoureuse de Shaun Morgan (chanteur du dit Seether) et d’Amy Lee a été houleuse… Broken prend tout son sens. Leurs deux voix se marient d’une manière sublime, et je doute qu’une telle chanson eut été aussi puissante si elle n’avait été interprétée par un couple torturé… Ici...
138- She bop – Cindy Lauper (1983)
Oups ! Encore une toune avec un p’tit buzz ! Là, je ne sais pas trop comment vous l’expliquer, vu que je ne connais pratiquement rien à la technique de la musique… Il doit sûrement exister un nom pour ça, c’est comme un changement de registre, ah pis fudge, je sais pas comment expliquer ça, là ! Allez donc écouter le vidéo (très drôle d’ailleurs, le vidéo), et tchèquez le compteur. Ce dont je vous parle se passe durant le refrain, la première fois entre 1 :54 et 1 :56 et entre 2 :05 et 2 :09 : ça fait comme monter, ça fait comme une gradation de notes… assssstiiiiie que je me trouve donc niaiseuse quand je ne suis pas capable de NOMMER ce dont je parle ! M’enfin. Ce qui compte, c’est que c’est bon. Et très bon ! :o) Ici...
139- Silent lucidity – Queensrÿche (1990)
Si j’avais à élire LE slow du début des années 90, ça serait assurément celui-là. Je dirais aussi que c’est la pièce qui m’a fait m’approcher du progressif en général. J’étais très intriguée par ce que pouvait murmurer la grosse voix, vers le milieu de la toune… Lisez-moi ça :
Visualize your dream. Record it in the present tense. Put it into a permanent form. If you persist in your efforts, you can achieve dream control.
Rhonda Byrne peut crissement aller se rhabiller, avec son prétendu Secret : Queensrÿche l’avait dit bien avant elle ! Gnan. Ici...
140- Crystal ball – Styx (1976)
Floune, quand j’allais au terrain de jeu de Bienville, dans les années 1976, 77, 78, 79, alouette, la plupart des moniteurs avaient des espèces de sacs en tissu, j’essaie en vain de trouver une image de ces sacs, c’était une marque en vogue, ça faisait vaguement granole, tout le monde en avait un… Bref, tout ça pour dire que tous ceux qui avaient un tel sac (pratiquement la ville au complet) dessinaient dessus, des cossins genre Linda aime Gaétan, et aussi des noms de groupe… dont Styx. Mais Styx pas écrit n’importe comment, sur le sac, Styx écrit exactement stylisé comme sur les albums, v’savez, cette police particulière :Bon, alors, tout ça pour dire qu’avant même de connaître musicalement Styx, je connaissais leur "logo" (parce que dans ce cas-ci, je pense qu’on peut parler d’une marque de commerce). Un jour, j’ai demandé à un de mes moniteurs, le très mignon Steve (qui faisait rêver les p’tites filles et juter les plus grandes… et probablement bander tout le reste du terrain d’jeux tellement il était gorgeous, scuzez ma vulgarité, on s’la calme), de me faire écouter du Styx. Je voulais absolument savoir qui c’était, ça, Styx, et pourquoi don tout l’monde trippait d’même. Il m’a alors emmenée, avec son fan-club de flounes adoratrices qui le suivait à la trace, dans le sous-sol de l’école, où étaient les locaux du terrain d’jeux, et… il m’a fait écouter Crystal Ball. Pôw : vendue je fus. Ici...
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142- Butterfly – Crazytown (1999)
Ahhh... rien d’autre à dire que voilà ici le genre de toune qui rend heureuse d’être contente, sans compter que le clip est soooo delicious (si l'on exclut évidemment les insupportables mouvements de mains et de bras style yo-man-pump-it-up que j'haguiiiiis tellement !). Parfait pour une compilation estivale ! Ici... 143- Angelia – Richard Marx (1989)
La parfaite p’tite toune soft rock : un refrain accrocheur, du saxophone à la bonne place, des bonnes p’tites passes de guitte… Je me souviens, dans mon premier bazou (un Plymouth Horizon 84), il n’y avait pas de lecteur de cassettes. J’avais donc déboursé une fortune pour munir mon ghetto-blaster des 12 batteries D dont il avait besoin pour fonctionner sans fil, et je l’avais installé sur la banquette arrière de mon char. Et c’est en partie à cause de cette toune que j’ai dû me résoudre à me contenter de la radio : en voulant reculer la cassette pour remettre Angelia au début, j’ai passé proche prendre le clos et aller piquer une jasette avec les vaches… Je pense que c’est à partir de ce moment que j’ai commencé à détester la radio, à force d’être obligée de l’écouter à la journée longue dans mon char (parce qu'à cette époque bénie, on pouvait encore se promener en char à notre guise...) Ici... (Je ne sais pas si comme moi vous allez halluciner sur sa coiffure, à ce cher Richard... J'espère pour lui qu'il les a ramassés, ses cheveux, comme ça il pourra s'en faire une perruque le jour venu où il n'en aura plus...) ;o)
144- Edie (ciao baby) – The Cult (1989)
Considérés par plusieurs comme les précurseurs du rock gothique, The Cult a laissé à l’histoire de la musique plusieurs excellentes tounes, dont la présente Edie (ciao baby). Le charisme singulier du chanteur Ian Astbury a d’ailleurs été mis à contribution pour "remplacer" Jim Morrison au sein des Doors (comme si Morrison pouvait être remplacé, tsé ?), formation pompeusement nommée The Doors of the 21st Century (il a dû s’revirer dans sa tombe solide, le pauvre Jim). L’initiative ne fut pas couronnée de succès, c’est le moins que l’on puisse dire, et Astbury est finalement retourné peinard avec ses potes de The Cult. Quoiqu’il en soit, Edie (ciao baby) reste un classique, et remplissons-nous-en joyeusement les oreilles ! ;o) Ici...
145- The reason – Hoobastank (2001)
Probablement (et malheureusement) un one-hit-wonder pour ces jeunes californiens, mais tout un, parzemple ! Comment ne pas craquer devant l’adorable binette de Douglas Robb (mi-écossaise, mi-japonaise, la binette, yeah right, joli mix !) qui nous raconte qu’il n’est pas un être parfait, qu’il n’a jamais voulu faire de mal, que c’est en l’autre qu’il a trouvé la raison de changer, de montrer un côté de lui que peu connaissaient… J’ai déjà éprouvé ça envers quelqu’un, cet irrésistible désir de devenir une meilleure personne juste parce que l’autre existe, qu’il est là en même temps que nous sur cette planète… *soupir* Et, l’aveu du jour, le clip me fait brailler. *court se mettre un sac en papier brun sua tête* Ici...
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147- Numb – U2 (1993)
U2 m’a toujours laissée indifférente : j’les haguis pas, mais j’les adore pas non plus. Je connais la plupart de leurs grands succès par cœur, à force de les avoir entendus. Par contre, dans le cas de Numb, j’ai accroché solide. Est-ce parce que ce n’est pas le plus-que-parfait Bono qui chante ? En effet, il se contente de back-vocals tandis que The Edge récite un tas de mots sur un ton monocorde… M’enfin, quoiqu’il en soit, c’est bon, et j’adore le clip ! Ici...
148- Thinking of you – A Perfect Circle (2000)
Encore un clip hautement bizarre et légèrement dégueulasse qui allait changer ma vie musicale. On dirait que j’ai le sens de la découverte titillé par l’étrangeté… Arrivée sur Musique Greluches Musique Plus un peu après le début du vidéo, j’ai cru qu’il s’agissait d’une nouvelle toune de Tool, à cause de la voix unique de Maynard James Keenan. Et comme on ne voit pas le groupe dans le vidéo, j’ai douté un moment… jusqu’à la fin, où j’ai appris qu’il s’agissait d’un groupe jusque-là inconnu de moi : A Perfect Circle. Vive internet : j’ai appris en quelques clics de souris qu’il s’agissait pour Keenan d’un projet parallèle à Tool, qui à l’initiative du guitariste Billy Howerdel réunissait quelques-uns des meilleurs musiciens de la scène métal. A Perfect Circle allait devenir, à l’instar de Tool, un de mes groupes préférés. Ici...
149- Yallah – Jimmy Page & Robert Plant (1994)
Je n’ai pas vécu l’époque Led Zeppelin, même si je connais et j’apprécie la plupart de leurs chansons les plus connues. Par contre, le résultat de la réunion de deux des protagonistes de ce groupe mythique, l’album No Quarter, fait partie des disques qui ont joué le plus souvent dans mon vieux radio, et Yallah est ma toune préférée de ce disque exceptionnel. Comme l’explique si bien l’excellent site belge PyZep : Très peu électrique, cet album s'apparente un peu à une sorte de Led Zeppelin III sauce arabe. Mais le résultat n'en est pas moins sublime. "Yallah", intitulé "The Truth Explodes" sur la vidéo, est le premier morceau vraiment "hard", enregistré en nocturne en plein Marrakech (à voir également sur la vidéo). Ici...
150- Réjean Pesant – Paul Piché (1977)
J’ai connu –et tout de suite adoré- cette pièce de Paul Piché quand j’ai acheté le double disque L’un et l’autre. Parue à l’origine sur l’album À qui appartient l’beau temps ? (1977), Réjean Pesant est l’illustration parfaite de ce que doit être une chanson engagée, portée par des guitares enivrantes. Dommage qu’il ne s’en fasse plus tellement des comme ça… on en aurait bien besoin. Ici...
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152- Pillar of Davidson – Live (1994)
Throwing Copper est l’un de mes albums préférés à vie. C’est par le biais de ce disque que j’ai fait connaissance avec le groupe américain Live, album qui allait d’ailleurs les mettre sur la map grâce au désormais classique Lightning crashes. Tout de suite j’ai été fascinée par le charisme singulier du chanteur Ed Kowalczyk, et sa voix qui me fait… me fait… je ne sais pas ce qu’elle me fait, en fait, mais elle me fait de l’effet (ça rime en crime). Sans parler de l’intrigante pochette, sur laquelle j’avais essayé d’écrire une nouvelle tellement elle me travaillait l’imagination… Pillar of Davidson est une chanson qui débute tout doucement, et qui quand elle prend toute son ampleur, devient d’une puissance qui donne des frissons. En tout cas, qui m’en donne à moi. Ici...
153- Lovetown – Peter Gabriel (1993)
Un des plus beaux et des plus étranges clips de Peter Gabriel, je trouve. Issue de la trame sonore du film Philadelphia, Lovetown est la première pièce du roi Peter à faire son apparition sur mon palmarès personnel, et dites-vous une chose : ce n’est pas la dernière. Oh que non. J’ai pour Peter Gabriel quelque chose qui ressemble singulièrement à un amour dévot. Et Dieu sait qu’il est bien le seul à provoquer chez-moi ce genre de sentiment… Mais je cesse ici de parler de lui. Avec le nombre d’occurrences du cher Peter sur mon TOP~200, faut bien que je me garde des choses à dire à chaque fois ! ;o) Ici...
154- Radar Love – White Lion (1989)
Encore une reprise, de Golden Earring (1973), cette fois-ci. Le cover de White Lion, s'il ne se démarque pas excessivement de l’originale dans l’ensemble, recèle par contre (à partir de 2 minutes 20 secondes) ce qui est à mon humble avis LE solo de guitte du rock des années 80, suivi d’un à peine moins hot solo de drum (solos qui l’un comme l’autre sont absents de la version originale). Si vous avez l’goût de torcher un tout nouveau système de son, ou encore de faire avancer votre char tout seul, sans appuyer sur le gaz, voici la toune idéale. Au fond, mon Léon ! Ici...
155- Everything she wants – Wham! (1984)
Une excellente manière de se dégourdir le popotin, le genre de toune sur laquelle je suis incapable de ne pas bouger. Il y a tout un monde entre le George Michael des années 80 et celui que l’on connaît aujourd’hui… Il chantait encore des chansons qui parlent de filles, à l’époque, et jamais il ne nous serait passé par l’idée qu’il était gai… Le public cible de ce genre de groupe cucul-la-praline étant presque exclusivement féminin, et très jeune de surcroît, et je me demande si Wham! aurait connu autant de succès si ses membres n’avaient pas caché leur orientation sexuelle. Cette question se pose d’ailleurs encore de nos jours : plusieurs chanteurs sont gais, de toute évidence, mais persistent à taire leur orientation, de crainte de répercussions négatives sur leur carrière. Sincèrement, je trouve ça con. Vraiment con. Entre un gai qui se cache et un gai qui s’assume, je préfère quelqu’un qui se respecte entièrement, qui n’a pas honte de ce qu’il est, et qui vit fidèle à lui-même. Est-ce que Rufus Wainwright a une moins belle carrière parce que tout le monde sait qu’il est gai ? Est-ce qu’Elton John a perdu tous ses fans quand il est sorti du placard ? Ben non. Au contraire, même. M’enfin ! Ici...
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