Mon TOP~200 (positions 141 à 145)
Eh bien oui, encore une belle p’tite toune quétaine des années 80, d’un de mes groupes préférés de l’époque, dont je vous ai déjà parlé ici. Si j’aime bien l’ensemble de la chose, j’ai toujours un léger buzz de plaisir entre les 47ème et 51ème secondes, durant ces quelques notes de synthétiseur que je trouve hyper bonnes (parenthèse : ceux qui me connaissent un peu savent que c’est bien moi, ça, de tripper aux frissons sur quelques secondes de chanson, de savoir précisément quand elles arrivent, et d'attirer l'attention générale pour bien les souligner… ah ha !). Le thème récurrent de l’amour qui change tout (j’attends encore des preuves de ça, au fait) est ici enveloppé d’un beat bien gentil, souligné par ci par là de quelques riffs de guitare à peine distorsionnés... Bref, du bon rock bien propret, qui me rappelle tant des souvenirs (ne serait-ce que l'époque où les billets pour un show à l'Agora du Vieux-Port coûtaient 6 piasses...) ! Ici...
142- Butterfly – Crazytown (1999)
Ahhh... rien d’autre à dire que voilà ici le genre de toune qui rend heureuse d’être contente, sans compter que le clip est soooo delicious (si l'on exclut évidemment les insupportables mouvements de mains et de bras style yo-man-pump-it-up que j'haguiiiiis tellement !). Parfait pour une compilation estivale ! Ici... 143- Angelia – Richard Marx (1989)
La parfaite p’tite toune soft rock : un refrain accrocheur, du saxophone à la bonne place, des bonnes p’tites passes de guitte… Je me souviens, dans mon premier bazou (un Plymouth Horizon 84), il n’y avait pas de lecteur de cassettes. J’avais donc déboursé une fortune pour munir mon ghetto-blaster des 12 batteries D dont il avait besoin pour fonctionner sans fil, et je l’avais installé sur la banquette arrière de mon char. Et c’est en partie à cause de cette toune que j’ai dû me résoudre à me contenter de la radio : en voulant reculer la cassette pour remettre Angelia au début, j’ai passé proche prendre le clos et aller piquer une jasette avec les vaches… Je pense que c’est à partir de ce moment que j’ai commencé à détester la radio, à force d’être obligée de l’écouter à la journée longue dans mon char (parce qu'à cette époque bénie, on pouvait encore se promener en char à notre guise...) Ici... (Je ne sais pas si comme moi vous allez halluciner sur sa coiffure, à ce cher Richard... J'espère pour lui qu'il les a ramassés, ses cheveux, comme ça il pourra s'en faire une perruque le jour venu où il n'en aura plus...) ;o)
144- Edie (ciao baby) – The Cult (1989)
Considérés par plusieurs comme les précurseurs du rock gothique, The Cult a laissé à l’histoire de la musique plusieurs excellentes tounes, dont la présente Edie (ciao baby). Le charisme singulier du chanteur Ian Astbury a d’ailleurs été mis à contribution pour "remplacer" Jim Morrison au sein des Doors (comme si Morrison pouvait être remplacé, tsé ?), formation pompeusement nommée The Doors of the 21st Century (il a dû s’revirer dans sa tombe solide, le pauvre Jim). L’initiative ne fut pas couronnée de succès, c’est le moins que l’on puisse dire, et Astbury est finalement retourné peinard avec ses potes de The Cult. Quoiqu’il en soit, Edie (ciao baby) reste un classique, et remplissons-nous-en joyeusement les oreilles ! ;o) Ici...
145- The reason – Hoobastank (2001)
Probablement (et malheureusement) un one-hit-wonder pour ces jeunes californiens, mais tout un, parzemple ! Comment ne pas craquer devant l’adorable binette de Douglas Robb (mi-écossaise, mi-japonaise, la binette, yeah right, joli mix !) qui nous raconte qu’il n’est pas un être parfait, qu’il n’a jamais voulu faire de mal, que c’est en l’autre qu’il a trouvé la raison de changer, de montrer un côté de lui que peu connaissaient… J’ai déjà éprouvé ça envers quelqu’un, cet irrésistible désir de devenir une meilleure personne juste parce que l’autre existe, qu’il est là en même temps que nous sur cette planète… *soupir* Et, l’aveu du jour, le clip me fait brailler. *court se mettre un sac en papier brun sua tête* Ici...