vendredi 11 avril 2008

Multi-Post

Mini m’a encore taguée… Je vais finir par penser qu’elle est tag-dépendante ! ;o)
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1 ) Le trait principal de mon caractère: Hypersensibilité.
2 ) La qualité que je désire chez les hommes : Qu’ils s’assument.
3 ) La qualité que je préfère chez une femme: L’écoute.
4 ) Mon principal défaut: Juste un ? Hum. La paresse.
5 ) Ma principale qualité: La vivacité d’esprit.
6 ) Mon occupation préférée: Créer.
7 ) Le plat qui me met l'eau à la bouche: Le rosbif de ma mère.
8) Mes mots favoris: Fuck, fucking, étrange, sincèrement, rappooorrrt !
9) Ce que je déteste par dessus tout: L’inconséquence.
10 ) Un rêve : Un chalet en Gaspésie.
Je tague : Personne ! Auto-taguez-vous ! ;o)
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Taxi-22 s’est terminé hier soir, sur une note… musicale ! Je redoutais une fin tragique comme la première saison, mais non. Au contraire (quoique…).
Une des citations du jour :
"Internet, c’est la démocratisation du moron, c’est donner la parole à ceux qui la méritent pas !"
Rogatien Dubois
(J’veux pas péter ta balloune, mon bon Rogatien, mais en matière de "donner la parole à ceux qui l’méritent pas", la télévision est dure à battre en câlibine, les nouvelles en particulier…)
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Koukie est partie. J’ai en effet tenté une périlleuse manœuvre de remise d’un animal sauvage dans son milieu naturel, c’est-à-dire une tablette extérieure de châssis. En espérant qu’elle ne se fasse pas crouncher toute crue dès sa réinsertion. Bonne vie, Koukie, tu passeras dire bonjour, de temps en temps ! ;o)
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La moins bonne nouvelle, avec l’arrivée du printemps, c’est le retour massif des motos tonitruantes et des mongols à mobylettes. Y’en a un, de ces mongols, dont j’espérais qu’il ait l’âge et/ou les moyens de s’acheter un char durant l’hiver, au lieu de sa tondeuse à guidon. J’ose espérer que ce n’est pas volontaire (sinon, il faudrait sévir), mais sa mobylette fait un tel raffut que je la reconnaîtrais entre mille. Pour mon malheur, il se tient avec une des ados de ma rue; j’ai donc l’infime honneur (horreur !) d’être écoeurée par son engin tapageur pratiquement en permanence. You-pi.
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Peut-être qu’avec l’inflation du litre d’essence, la mobylette se fera-t-elle plus rare cet été ? J’en doute, mais on peut toujours espérer. Eille, 1,27$ le litre, bordel ! Mel et moi, lors de notre premier périple en Gaspésie, en juillet 1997, avons gazé à 49 cennes le litre au Irving de Matane. Il était à 52 cennes le litre ailleurs, en général. Ça fait pas 60 ans, de ça, là, ça fait tout juste 10 ans et demi ! Le bon vieux temps, quoi.
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Question comme ça : la coiffure de Donna Brazile, quessé ça, pour l’amour ? L’activiste politique américaine est sur toutes les tribunes, ces temps-ci, pour commenter la campagne électorale de son pays. Chaque fois que je l’aperçois, je me demande comment diable elle opère pour se jacker les ch’veux d’une telle manière. C’est laitte.
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Je viens de me taper d’une traite l’Erreur d’impression de Daniel Bélanger. Il y a longtemps que je n’avais eu entre les mains un objet aussi bizarrement plaisant. Aussi curieusement captivant, tant du contenu que du contenant. Il y a par exemple quelque chose de sadique à la table des matières et aux index détaillés. Pourquoi ? Allez-y voir, vous comprendrez. Je me permets de citer quelques-uns de ces aussi courts que singuliers textes :
Il est sûr qu’on peut parler pour parler… écrire pour noircir une page blanche ou verte. On peut dessiner des mots en forme d’idées, des lettres en forme de mensonges, des phrases en forme d’amour, l’amour qu’on a pour l’encre, la fascination du papier, le plaisir du seul plaisir d’écrire. Parler pour parler, combler le silence en forme de paix, meubler cette paix de sons en forme de bonheur, de souvenirs heureux. Il est certain que l’on peut faire tout cela, mais peut-être pas non plus.°
Je t’aimerai tellement que tu friseras comme tu n’as jamais frisé, la lune te donnera ce qu’elle ne donne à personne : un bronzage uniforme et puis tu seras riche et balourde de mes sentiments débordants qui n’avaient jusqu’ici débordé que pour le petit hamster de mon enfance, mort injustement dans la souffleuse à neige (propulsé si loin tu sais…).
Tu ne diras pas non, j’ai confiance.
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Un jour sans pluie comme on en voit souvent quand il n’y a pas de nuages, un jour sans pluie comme on en voit souvent durant sa courte vie quand, soudain, le ciel se couvre d’un épais poumon d’où sortent des clous en forme d’eau, d’où souffle un vent à l’emporte-chapeau, le mien kidnappé par la brise distendue, je le regarde me quitter sans broncher, sans même une contraction de la lèvre inférieure, sans même le spasme de la paupière droite si gauche à exprimer mon anxiété. En résumé, ce chapeau je viens de le perdre.°
Toi que nul n’aime sinon que moi, que nul n’oit qu’en présence de son ananas, l’ai-je joui ou dus-je le jouer, l’eus-je appris que je ne l’eusse su vraiment ? Sacrement de Tabernacle.