Mon TOP~200 (positions 171 à 175)
Ramasutra, c’est un brillant DJ québécois, Ramachandra Borcar. Quand son album The East Infection est paru en 1999, je l’ai tout de suite acheté, séduite par ces rythmes d’un genre que je qualifierais de techno-jungle. Ce disque est bon d’un bout à l’autre, et Marder, en particulier, s’écoute très facilement sur le repeat pendant une couple d’heures. En faisant du ménage, par exemple, c’est full motivant. Ou pour des galipettes sous (ou sur) la couette, c’est, ma foi, plutôt inspirant ! ;o) Ici...
172- When the children cry – White Lion (1987)
Quand ce qu’il est maintenant convenu d’appeler les "événements du 11 septembre" sont survenus, je n’avais pas de télévision, depuis plusieurs mois. La dite machine ne me manquait pas tant que ça… jusqu’à cette journée-là. J’aurais tout donné pour en avoir une, cette journée-là. Cette journée-là, je suis même allée jusqu’à cogner chez mes voisins d’en haut pour m’assoir avec eux devant la télévision. Cette journée-là, donc, je n’avais pas de télévision. J’avais un ordinateur, une connexion haute-vitesse et la radio. Or, à la radio, le poste que j’écoutais (CHOM) a fait tourner cette pièce pratiquement en boucle, dès 9h40... What have we become / Just look what we have done / All that we destroyed / You must build again… À tout jamais cette chanson me rappellera que j’aurais tout donné pour qu’un autre humain me serre dans ses bras, cette journée-là. Ici...
173- Ball of confusion – Love and Rockets (1986)
Cette pièce est le résultat de drôles de mélanges… Formé en 1985 par tous les membres originaux de Bauhaus (sauf le chanteur Peter Murphy qui faisait dorénavant carrière solo), Love and Rockets a repris un classique de Motown, qui est devenu un classique psychédélique des années 80. Bizarre, hein ? L’histoire de la musique est remplie de bizarreries, d’ailleurs pas toujours réussies, mais ce n’est pas le cas de celle-ci ! Ici...
174- Acid Rock – Rhythm Device (1989)
Ahhhhhhhhh ! Quand les premières notes d’Acid Rock se faisaient entendre au Club (ou dans n’importe quel bar où j’étais), je lâchais tout ce que je faisais (mais vraiment tout), et je me pitchais en courant sur la piste de danse (si je n’y étais pas déjà). Il y a quelque chose d'étrangement lourd dans ce dance, quelque chose de rough, qui me déchaînait l’body. Et ça me fait encore le même effet, même si ce n’est que dans mon salon maintenant… Ici...
175- Au bord de lac Bijou – Zachary Richard (1997)
Pour moi (et pour Mel aussi), cette chanson ne rappelle qu’une chose : Gaspésie. Au bord de lac Bijou est à mon avis une des plus belles chansons de Zachary Richard, et une de ses plus tristes aussi. Toute la mélancolie de la voix de Zachary trouve la place nécessaire pour s’exprimer dans cette triste complainte… Ici...