Mon TOP~200 (positions 166 à 170)
Je vous interdis formellement de le répéter et/ou de vous foutre de moi plus que dix minutes, mais... j’ai déjà été membre du fan-club de Culture Club. (J’avais 11-12 ans, quand même, soyez indulgents... on adorait s’habiller, se coiffer et se maquiller comme Boy George, une chance pour nous, il s’attriquait comme une fille !)
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167- The living years – Mike and the Mechanics (1988)
"Mike", c’est Mike Rutheford, de Genesis. Et les Mechanics, c’est entre autres Paul Carrack, le chanteur au timbre de voix étrangement similaire à celui de Phil Collins… en fait, même physiquement, ils se ressemblent ! Est-ce à dire que Mike Rutheford cherchait à créer un band-clone de Genesis, où ça serait juste lui, le boss ? Nul ne saurait dire. Ce que je peux dire, c’est que j’aimais beaucoup ce groupe, et l’album Living years en particulier, où l’on retrouve The living years, leur plus grand succès. Une jolie musique et un texte touchant, chanté avec cœur et avec un chœur : recette magique ! Outre la lecture de boîte de céréales, j’ai beaucoup développé ma connaissance de l’anglais en traduisant des chansons que j’aimais. (Parenthèse : j’ai d’ailleurs ébloui une professeure de français, en secondaire 2, en lui remettant une traduction de Criminal Mind de Gowan en guise de création littéraire originale… je n’en suis pas super fière aujourd’hui, mais j’avais quand même eu une môzuss de bonne note… je me souviens qu’elle avait trouvé "mon" texte "très beau et très étrange"… mouarf !). J’avais donc traduit The living years, et je me souviens être allée faire un gros colleux à mes parents juste après. Comme quoi la musique peut rapprocher les gens… ;o) En plus, le clip est magnifique... même si dans ce cas-ci il est sous-titré en espagnol. Ici...
168- Rose Rouge – St. Germain (2000)
Une fin de semaine d’été, en 2001. Le Petit Magicien m’avait invitée au gros party devant souligner son anniversaire et celui de son frère jumeau, à la maison d’un autre de leur frère, en Outaouais. J’ai partagé la route avec une fille très sympathique, dont je ne me souviens malheureusement plus le nom, qui conduisait une Volkswagen avec un toit ouvrant genre "trou au plafond". Nous roulons, nous placotons, et à un moment, elle glisse ce disque dans le lecteur. Dès les premières notes j’ai adoré. Dans le contexte, c’était parfait : la route était belle, il faisait chaud, il faisait soleil, l’air sentait bon, on s’en allait s’amuser en gang toute la fin de semaine… la trame sonore idoine, quoi ! Ici...
169- I wish it would rain down – Phil Collins (1989)
Avec Eric Clapton à la guitte, en partant, ça s’annonce excellent ! J’apprécie l’ensemble de l’œuvre de Phil Collins, tant avec Genesis qu’en solo, et si j’ai choisi cette chanson-là en particulier, c’est que, vous l’aurez deviné, elle me rappelle des souvenirs tout aussi particuliers… Ici...(même si ce n'est pas le clip original).
170- Open your heart – Europe (1988)
Allez-y, criez encore à la quétainerie... … Non ? Vous commencez à être habitués à mes drôles de choix musicaux ? Tant mieux, parce qu’on en a encore pour plusieurs semaines de sélections toutes plus bizarres les unes que les autres ! ;o) Dans le cas de Europe, c’est surtout au niveau émotif que ça se joue. En effet, deux des albums de ce groupe suédois sont intimement liés à une personne qui a marqué mon histoire personnelle, et pas dans un sens nécessairement positif. Aujourd’hui, j’ai fait la paix avec tout ça, même si je n’ai jamais eu l’occasion de faire la paix avec lui. Mais ça, ça viendra si ça doit venir… D’écouter cette toune me permet de voir la route parcourue, de mesurer à quel point on en fait du chemin, dans une seule vie… Ici...