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Je suis tellement fruuuue ! Ben, pas tant frue qu’envieuse, disons. Quoi ? Ça : Fish et Marillion on rejoué ensemble pour la première fois en dix-neuf ans, et je n’étais pas là pour voir ça. Bordel. Grrr. Fudge. Shnoutte. Ceux qui ne sauraient pas de quoi je parle (ne soyez pas gênés, si c’est le cas) peuvent cliquer ici pour plus de détails. Dans un autre ordre d’idée, j’me dis que ça doit pas être tellement plaisant pour l’actuel chanteur de Marillion, Steve Hogarth, qui a remplacé Fish lors de son départ (lire ici foutage-dehors-à-grands-coups-d’pieds-dans-l’Q), il y a presque vingt ans. Ça me fait penser à la récente annonce de la réunion de Van Halen… avec David Lee Roth. C’est vachement fin pour Sammy Hagar, hein ? Ah, le merveilleux monde de la musique…
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Je retournerais tellement à l’école que je passe mes journées à sniffer des crayons de plomb fraîchement aiguisés juste pour me mettre dans l’ambiance. Ayant passé dix ans sur les bancs d’université, j’ai eu plus que ma part de rentrées, et c’est peut-être pour ça qu’à chaque fois que septembre arrive, je me sens un brin nostalgique. Chaque début de septembre qui se charge de cette adrénaline particulière propre à la rentrée scolaire : tel cours sera-t-il aussi plaisant que l’annonce son descriptif ? Tel professeur sera-t-il aussi trippant qu’il en a l’air ? Tel beau pétard de la classe daignera-t-il poser les yeux sur moi ? Soupir… C’est bien la rentrée qui me manque, et non l’école. Parce que, soyons réalistes, le cours est rarement à la hauteur de nos espérances, le professeur encore plus rarement… sauf les quelques spécimens exceptionnels qui, Dieu merci, sauvent la mise et nous marquent à tout jamais. Quant au beau pétard… humph, you know what I mean ? Voilà.
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Comme Jo la Critique l’annonce sur son blogue, ce mardi sortait (ENFIN !) la troisième saison de CSI Vegas en français. Quiconque me connaît un tantinet a de quoi s’étonner de mon intérêt pour cette série qui, a priori, n’a rien pour me séduire, moi qui frémis à la seule vue d’une goutte de sang. Pourtant… Quand Jo m’en a parlé, la première fois, j’étais sceptique, vraiment. Devant son insistance, j’ai pris le coffret de la première saison qu’elle me tendait, et j’ai visionné le premier épisode sans trop d’attentes. Aïe ! Il n’était pas terminé que j’avais le doigt sur la manette du DVD pour démarrer le deuxième ! Bien qu’il m’arrive plutôt souvent de me cacher la tête sous mon t-shirt durant les moments dégueus (comme durant Dr House), je suis sous le charme. Il y a un je-ne-sais-quoi dans la psychologie des personnages, dans leur évolution, dans les méandres de leurs vies qui nous sont révélés au compte-goutte, dans les relations un peu tordues qu’ils entretiennent les uns avec les autres, qui rend totalement addict. Et n’allez surtout pas me parler de CSI New York, ni de CSI Miami ! Pouah ! Pour moi, CSI, c’est Vegas, et rien d’autre. Gnan. J’aurai donc en main ce précieux coffret de la troisième saison la semaine prochaine, selon toute vraisemblance, et je patienterai pour les saisons quatre et cinq jusqu’au mois d’octobre. La saison six, elle, est déjà sortie depuis plusieurs mois (cherchez l’erreur), alors tout compte fait, quatre saisons de CSI m’attendent. Des heuuuuures de plaisir, yeah ! ;o)
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Je suis un veau. Pervers, ne pensez pas tout croche… j’aime le lait ! J’aime tellement le lait… Il fut une époque de ma vie où le frigidaire était vide plus souvent qu’à son tour, et s’il entrait un peu de sous dans mon porte-monnaie, la première chose que j’achetais, c’est du lait. Pas du pain, pas de la viande, pas des légumes. Du lait. Je passe facilement deux sacs de trois "poches" par semaine à moi toute seule. Un veau, vous dis-je. Et un veau 2 %. J’ai répété, autant comme autant, que le lait bleu (écrémé) était une hérésie. Que tant qu’à boire du lait bleu, j’aimerais mieux ne pas en boire du tout. Que le lait bleu, c’était du lait fefi (euh…). Bon. Vous êtes bien assis sur vos chaises ? Hier, j’ai acheté du lait bleu. Si si si. Et même si au goût, je préfère nettement le 2 %, je continuerai à acheter du lait bleu. À veut-tu maigrir, la fille, ou à veut pas ? À veut. En estifie. Ça fait que… vive le lait bleu !
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Je retournerais tellement à l’école que je passe mes journées à sniffer des crayons de plomb fraîchement aiguisés juste pour me mettre dans l’ambiance. Ayant passé dix ans sur les bancs d’université, j’ai eu plus que ma part de rentrées, et c’est peut-être pour ça qu’à chaque fois que septembre arrive, je me sens un brin nostalgique. Chaque début de septembre qui se charge de cette adrénaline particulière propre à la rentrée scolaire : tel cours sera-t-il aussi plaisant que l’annonce son descriptif ? Tel professeur sera-t-il aussi trippant qu’il en a l’air ? Tel beau pétard de la classe daignera-t-il poser les yeux sur moi ? Soupir… C’est bien la rentrée qui me manque, et non l’école. Parce que, soyons réalistes, le cours est rarement à la hauteur de nos espérances, le professeur encore plus rarement… sauf les quelques spécimens exceptionnels qui, Dieu merci, sauvent la mise et nous marquent à tout jamais. Quant au beau pétard… humph, you know what I mean ? Voilà.
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Comme Jo la Critique l’annonce sur son blogue, ce mardi sortait (ENFIN !) la troisième saison de CSI Vegas en français. Quiconque me connaît un tantinet a de quoi s’étonner de mon intérêt pour cette série qui, a priori, n’a rien pour me séduire, moi qui frémis à la seule vue d’une goutte de sang. Pourtant… Quand Jo m’en a parlé, la première fois, j’étais sceptique, vraiment. Devant son insistance, j’ai pris le coffret de la première saison qu’elle me tendait, et j’ai visionné le premier épisode sans trop d’attentes. Aïe ! Il n’était pas terminé que j’avais le doigt sur la manette du DVD pour démarrer le deuxième ! Bien qu’il m’arrive plutôt souvent de me cacher la tête sous mon t-shirt durant les moments dégueus (comme durant Dr House), je suis sous le charme. Il y a un je-ne-sais-quoi dans la psychologie des personnages, dans leur évolution, dans les méandres de leurs vies qui nous sont révélés au compte-goutte, dans les relations un peu tordues qu’ils entretiennent les uns avec les autres, qui rend totalement addict. Et n’allez surtout pas me parler de CSI New York, ni de CSI Miami ! Pouah ! Pour moi, CSI, c’est Vegas, et rien d’autre. Gnan. J’aurai donc en main ce précieux coffret de la troisième saison la semaine prochaine, selon toute vraisemblance, et je patienterai pour les saisons quatre et cinq jusqu’au mois d’octobre. La saison six, elle, est déjà sortie depuis plusieurs mois (cherchez l’erreur), alors tout compte fait, quatre saisons de CSI m’attendent. Des heuuuuures de plaisir, yeah ! ;o)
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Je suis un veau. Pervers, ne pensez pas tout croche… j’aime le lait ! J’aime tellement le lait… Il fut une époque de ma vie où le frigidaire était vide plus souvent qu’à son tour, et s’il entrait un peu de sous dans mon porte-monnaie, la première chose que j’achetais, c’est du lait. Pas du pain, pas de la viande, pas des légumes. Du lait. Je passe facilement deux sacs de trois "poches" par semaine à moi toute seule. Un veau, vous dis-je. Et un veau 2 %. J’ai répété, autant comme autant, que le lait bleu (écrémé) était une hérésie. Que tant qu’à boire du lait bleu, j’aimerais mieux ne pas en boire du tout. Que le lait bleu, c’était du lait fefi (euh…). Bon. Vous êtes bien assis sur vos chaises ? Hier, j’ai acheté du lait bleu. Si si si. Et même si au goût, je préfère nettement le 2 %, je continuerai à acheter du lait bleu. À veut-tu maigrir, la fille, ou à veut pas ? À veut. En estifie. Ça fait que… vive le lait bleu !