mardi 25 décembre 2007

Joyeux Quoi ? Ben oui, Joyeuuuux Noëëël !!!

"Si je pouvais en faire à ma tête, disait Mr. Fish, alias Scrooge, d'un ton indigné, tout imbécile qui court les rues avec un Joyeux Noël ! sur les lèvres serait mis à bouillir dans la marmite avec son propre pudding et enterré avec un branche de houx en travers du coeur..."
Une prière pour Owen, John Irving
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Tirée du "Chant de Noël" de Dickens (pièce que jouent les personnages du roman d'Irving à chaque Noël), cette citation reflète assez bien ce que j'ai pu penser de Noël durant bien des années. Le temps des Fêtes me rendait maussade (et c'est un euphémisme), les inévitables réunions de famille me faisaient pousser de l'urticaire, les chansons de Noël me donnaient envie de vomir (sauf celles d'Elvis, évidemment !), la folie furieuse du magasinage m'enrageait (surtout quand je travaillais dans les magasins !). Bref, j'ha-guis-sais le temps des Fêtes. Cette hargne de fin d'année a atteint son apothéose le jour où, bien contre mon gré, je passai Noël toute seule. Absolument et terriblement toute seule. On a beau se répéter que c'est un jour comme les autres, que c'est pas si grave... je vous épargne les détails désespérants.
Depuis, j'ai fait la paix. La paix avec moi-même, d'abord. Cette paix intime crée de petits miracles, comme de faire la paix avec les autres, et de faire la paix avec Noël aussi. L'an passé, j'ai jeté involontairement ma famille par terre en décorant mon appart... début novembre. Oui. Et bien que je ne sois pas plus maniaque des rassemblements familiaux qu'avant, j'y mets de la bonne volonté et avec un sincère désir de se faire du fun, ça fait... des miracles ! Et bien qu'il est hautement improbable le jour où je me déguiserai en Mère Noël, je me laisse maintenant toucher par cette réelle magie du temps des Fêtes. Oui, de la magie, ne serait-ce que parce que la plupart des gens sont de bonne foi dans leur désir de s'amuser et de faire plaisir aux autres.
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Laissez-moi donc vous souhaiter un excellent Noël, illuminé de joie, d'amour et de fous rires ! :o)

samedi 22 décembre 2007

Coups de coeur et... coups d'masse !

J'ai beau me targuer d'être, en général, plutôt imperméable aux modes, je sacrifie volontiers à celle-ci... qui tient d'ailleurs davantage de la tradition que de la mode. Voici d'abord mes coups d'masse, puis, pour bien finir, mes coups de coeur !
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Coups d'masse 2007
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Rachid Badouri. Sa carrière vient à peine de prendre son envol, que j'en ai déjà plein mon truck de son p'tit air angélico-fendant et de ses chemises initialisées. Trop, c'comme pas assez.
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La présence militaire canadienne en Afghanistan. Inutile de me faire un cours "Armée 101" pour m'expliquer les bienfaits de la présence des militaires canadiens en Afghanistan. Je ne comprends pas, et aucun argument ne me fera admettre qu'il y a du bon à se mêler sans vergogne de ce qui ne nous regarde pas. Ne comptez pas sur moi pour "supporter nos troupes": je trouve justement insupportable -et injustifiable- leur présence là-bas.
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Jean Charrue... euh, Charest. Pour l'ensemble de son oeuvre.
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Celine Dion. Oui oui, je sais, il est rigoureusement interdit de ne pas aimer Celine si on est de fiers Québécois qui se respectent. M'en fouiche. À m'énarve, la diva rachitique. Ses accents à géométrie variable m'énarvent. Son fils plus-que-parfait aux cheveux plus longs qu'elle m'énarve. Son gambler-sugar-daddy-despote de mari m'énarve. Bref, à m'énarve.
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Justin Trudeau. TA YEULE !
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Le cirque médiatique autour de la disparition de Cédrika Provencher. Comprenez-moi bien: c'est terrible, cette disparition. Terrible. Mais la tronche de son papa, ch'pus capable. Avez-vous remarqué que peu de temps après la disparition de sa fille, il s'est mis à se coiffer plus soigneusement et à s'acheter des belles chemises ? Faut bien paraître devant les kodaks !
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La vie amoureuse d'Éric Lapointe. Pôvre ti-pit ! En aurions-nous plein l'Q d'entendre/lire/voir tous, mais TOUS les fucking détails des tribulations de sa vie d'coeur ?
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Le discours moralisateur des écologistes. Lâchez-nous, sacrament ! Arrêtez de vouloir culpabiliser le petit citoyen moyen, qui fait déjà plus que sa part en recyclant tout ce qu'il peut recycler, qui fait attention pour ne pas gaspiller d'eau et ne pas polluer l'air inutilement. Prenez-vous-en aux gros industriels, aux municipalités qui ne recyclent pratiquement pas, aux entreprises qui polluent sans relâche, par exemple à Jardin Mobile, qui multiplie les emballages en styro-mousse et qui suremballe ses légumes (BIOS !). Mais pas de chance que ça se produise, hein ? C'est ça qui arrive quand l'argent prime sur tout.
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Lise Dion. Faut que je vous le dise, avant d'en faire une crise d'apoplexie: À M'ÉNARRRRRVE ! J'la trouve pas drôle, tellement pas drôle, j'la trouve laitte à faire peur, j'la trouve gnochonne, j'la trouve vulgaire. Ah fiou, voilà, c'est méchant mais c'est dit !
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Michel Brûlé. L'éditeur en chef des Intouchables, qui en plus d'être un opportuniste de première, s'est permis cette année le luxe d'éditer un plagiat. Lâche-pas, l'grand. Quelle est la prochaine trouvaille pour aplatir encore ce qu'il te reste de réputation ?
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Coups de coeur 2007
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L'album Night de Gazpacho. Je ne connaissais pas ce groupe norvégien avant qu'un gentil inconnu me les présente, et dès la première écoute de cet album sorti en 2007, j'ai positivement craqué. Voix du chanteur très particulière, ambiance mystérieuse et... englobante, pourrais-je dire... c'est tout un univers en soi, ce disque. J'adore.
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L'émission Taxi 22 (diffusion hiver 2007). Chef-d'oeuvre de défoulante vulgarité et souvent... de vérité. La belle et destroy vérité de notre Rogatien préféré.
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Scrabulous. À mon avis l'application la plus intéressante -et divertissante !- du surfait FaceBook. Des heures de plaisir !
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L'émission César, l'homme qui parle aux chiens (Canal Vie). Je n'ai pas de chiens, et je suis plutôt de type chat. Mais ce César Milan, il est hallucinant. Il pratique une approche de la gent canine qui produit chaque fois un miracle. Il a tellement compris qu'un chien est un chien, et qu'il doit rester un chien et non un humain... À chaque émission, on assiste au petit miracle du chien fou qui devient un bon toutou, et dans la majorité des cas (sinon la totalité), les maîtres étaient responsables du problème, entre autres en traitant leur animal comme un bébé. Bref, fascinant.
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La fabrication de colliers et de bracelets. Les années passées, le scrapbooking avait fortement la cote, et je ne m'y suis jamais adonnée. Cette année, la fabrication de collier a pris le plancher, et ça, j'adore ! On dirait que tout le temps passé à enfiler de minuscules perles sur un fil pratiquement invisible me permet de déconnecter, d'accéder à un autre niveau de ma conscience... des colliers mystiques, ah ha !

jeudi 20 décembre 2007

ZE disque de Nowell

LE disque à avoir, de préférence en vinyle, pour la richesse du son et les savoureux scritch-scratch.

Ce classique a bercé tous les Noëls de ma vie dès ma tendre enfance, et sans lui Noël ne serait pas Noël.
Si pendant des années j'ai conchié le temps des Fêtes, je ne pouvais me résoudre à sacrifier Elvis. Tout sauf ça.
Quand le King chante qu'il sera à la maison pour Noël, ça sonne si vrai qu'on voudrait tous y croire...

samedi 15 décembre 2007

Bonne tempête !

Faut que je vous avoue quelque chose... J'adore les tempêtes. Mais à une condition: ne pas avoir à sortir de chez-moi durant la dite folie de Mère Nature. Comme demain, par exemple, et lundi aussi, je n'ai pas à sortir, nul besoin d'aller nulle part, des choses en masse à faire chez-moi, un frigo et des armoires pleins. Durant tout ce déchaînement météorique, je suis au chaud, dans ma bulle, contemplant avec détachement les flocons fous qui s'accumulent partout. Bon, parfois je pousse quelques exclamations (voire quelques sacres) quand je vois des choses comme... comme par exemple des illuminés qui se propulsent à vélo dans deux tonnes de neige... ou comme ce chauff(ard)eur-là, qui mériterait bien un ticket et/ou un fonçage-dans-un-poteau en règle...

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Alors voilà, demain et lundi matin, je la regarde tomber, bien au chaud, et après je me colletine une couple d'heures de pelletage (faut aussi que je vous avoue que j'aime bien pelleter, c'est mon Nautilus gratuit, et en plus je prends l'air au lieu de pédaler dans l'vide dans un aquarium). Bonne tempête à tous, soyez prudents, et à mardi ! :o)

vendredi 14 décembre 2007

Astrologiquement vôtre

Comme tout le monde, je ne crois absolument pas à l'astrologie, et comme tout le monde, je lis mon horoscope chaque fois qu'il m'en tombe un sous les yeux. C'est la nature humaine dans toute sa splendeur. À l'époque où j'essayais d'être Montréalaise, je lisais assidûment l'horoscope du Ici Montréal, pondu par Rob Brezsny (et traduit par le Ici). Je me régalais de cet horoscope "métapho-mystique", comme je me plais à le décrire, et il me manquait beaucoup depuis que je suis revenue à Lévis. Oh, je le lisais en anglais, bien sûr, mais... je suis francophone, et pas hyper-bilingue en lecture d'anglais, surtout que celui de Brezsny a une forte tendance au slang (argot). Bref, j'm'ennuyais. Or, Patoup m'a appris récemment que le Ici, s'il n'a pas de site officiel (Quebecor power oblige), rend chaque semaine l'édition en cours téléchargeable en PDF. Incluant mon Brezsny. Oouahou !
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Cela dit, je suis une drôle de bibitte en général (vous l'savez, non ?), et au plan astrologique itou. En effet, je suis Bélier ascendant Poissons. Le feu et l'eau, les deux extrêmes du zodiaque, un savant (et pas toujours concluant) mix entre le fonceur et le rêveur. Je crois peut-être (et le mot-clé est ici peut-être) un peu plus aux descriptions de signes qu'aux prédictions astrologiques. Quoiqu'il en soit, j'ai beau ne pas prendre les prédictions de Brezsny pour du cash, ces dernières recèlent souvent d'assez fertiles pistes de réflexion. Et c'est probablement à ça que je suis addict, plus qu'autre chose.
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J'ai souvent lu et entendu que l'ascendant prend sur la personnalité plus de poids en vieillissant, et je serais portée à croire que c'est vrai, si tant est que tout le reste le soit. C'est d'ailleurs pourquoi je lis toujours l'horoscope de mes deux signes, Bélier et Poissons, pour être sûre de ne rien manquer, tsé !
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L'horoscope Poissons de cette semaine est particulièrement captivant... et inspirant:
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POISSONS: "Ouvrez vos esprits, petits coeurs", commence la déclamation apaisante du conseiller en édification Dvorah Adler (Dvorahji.com). "Prenez une grande inspiration et expirez longuement. Il est temps que vous entendiez le grand secret des âges, la vérité radicale de toutes les vérités que seuls les gourous, les avatars et les grand-mères les plus sages sont suffisamment braves pour révéler. On y va ? Voici: ¨FERMEZ-VOUS-LA ET SOYEZ HEUREUX !¨" C'est avec plaisir que je vous transmets cette vérité sans âge émise par M. Dvorah, Poissons, parce que c'est ce que vous avez besoin d'entendre en ce moment même. Alors, SVP, mes chéris: hurlez, chuchotez ou chantez "TA GUEULE" à toutes les voix dans votre tête qui sont si accro à dire "Qu'est-ce que je fais de mal ?", "Quand vivrai-je enfin le bonheur ?" et "Pourquoi est-ce que tout ne pourrait pas être parfait pour toujours ?". La vérité, c'est que vous êtes exactement où vous devez être, et que tout se déroule avec une grâce mystérieuse.
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Ah ben ! ;o)

mercredi 12 décembre 2007

Boum et Mario

Peu de temps après que je sois revenue de Montréal, je feelais plutôt nostalgique. Je me demandais ce qu'étaient devenus ces vieux chums d'adolescence dont, pour la plupart, je n'avais eu de nouvelles depuis... depuis l'adolescence, justement. Outre Christian Lévesque, bien sûr, qui est devenu... mon député provincial. Un jour de juillet tout ensoleillé, j'ai tapé quelques noms sur Google, pour le fun, sans grand résutalt. Quand j'ai inscrit "Marie-Josée Béland", le premier lien trouvé s'avéra être... un avis de décès. Je clique sur la chose, m'attendant à trouver n'importe qui sauf Marie, mais... Dire que j'ai eu un choc serait l'euphémisme du siècle. C'était bien Marie, Boum de son surnom, qui était partie deux mois plus tôt. Les yeux plein d'eau, je lisais et relisais son avis de décès, recherchant quelque indice sur la cause de sa mort, en vain... Elle n'a pas quitté mes pensées les jours suivants. Oh, Boum et moi n'avions jamais été les meilleures amies du monde, comme on dit, mais nous avons partagé la même case de polyvalente, et les mêmes cigarettes, et les mêmes cours, et les mêmes partys de sous-sol d'église... pendant deux ans. Je me souviens avoir dormi chez elle quelques fois, et d'avoir tellement souhaité m'intégrer dans la "gang de Beaumont". Je l'avais revu il y a peut-être huit ans, au centre d'achats, avec sa fille Laury... elle était toujours avec son grand Mario, l'amour de sa vie. Boum et Mario étaient ensemble depuis l'adolescence, vous savez, ce genre d'amour qui fait se demander s'ils ne se connaissaient pas bien avant de naître... Quand j'ai su, pour Boum, j'ai écrit une lettre à Mario, lui exprimant bien sûr mes sympathies, et m'interrogeant discrètement sur les raisons de ce départ pour le moins précipité... Je n'avais pas eu de réponse, et franchement je n'en attendais pas. Il devait bien avoir d'autres chats à fouetter. Puis, quelque temps plus tard, comme si la vie s'arrangeait pour répondre à mes questions, j'ai croisé une copine commune sur un stationnement, et elle m'a tout raconté. Le cancer du poumon, puis le cancer généralisé, la déchéance physique, la mort à la maison... J'en braillais sur le parking. Les mois passèrent, et souvent je pensais (et je rêvais) à Boum, à Mario et Laury qui restaient... Il y a deux semaines, en parcourant les avis de décès du journal local, j'ai vu le nom de Mario... et j'ai lu, stupéfaite, qu'il était mort le 31 octobre dernier. Il a fallu que je m'assoie, je n'en revenais tout simplement pas. Et encore une fois, aucuns détails sur l'avis de décès... J'espère tellement qu'il ne s'est pas suicidé ! Qu'est-ce que doit se dire sa fille, hein ? Comment doit-elle se sentir, hein ? Je ne connais pas vraiment Laury, mais son visage fait souvent "pop-up" dans ma tête, à des moments incongrus, et chaque fois j'espère qu'elle a du monde autour d'elle pour la soutenir.
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Je ne sais pas pourquoi ça me heurte autant. Après tout, je n'étais plus proche d'eux, et ça fait si longtemps... Est-ce que parce que je suis à un âge où il n'est pas courant de voir le nom d'un compagnon d'école dans les avis de décès ? Ou serait-ce plutôt, plus exactement, la mort de quelqu'un de mon âge ? Départ insolent, en plein milieu d'une vie, qui me retourne en pleine face mon inéluctable mort, à moi aussi. Je ne sais. Même si je ne prie pas, je souhaite que Boum et Mario se soient retrouvés quelque part où il fait soleil, où la maladie n'existe pas, d'où ils peuvent veiller ensemble sur leur petite adolescente désormais orpheline... J'espère tellement.

lundi 10 décembre 2007

Traduction délirante du jour

On sait tous que les traductions de manuels d'instruction, souvent, ça craint. Mais là, avec celle-ci (tirée du manuel de ma nouvelle mijoteuse), on atteint des records d'incompréhensibilité. Lisez vous-mêmes...
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Remarque: Si le pouvoir saute alors la lumière de pouvoir clignotera de le et les montages doivent être remettent à l'état initial. Si le temps de cuisinier est changé avant du cycle est complet que le temps remettrait à l'état initial au nouveau reglage
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Ayoye don !

dimanche 2 décembre 2007

Conclusions d'un salon

Première conclusion: c'était mon premier salon d'artisans, et ce sera aussi le dernier. C'est hallucinant la quantité d'énergie nécessaire à une telle activité. Hallucinant. Et je ne parle pas de la patience essentielle pour ne pas envoyer scier les gnochons qui me disent que les cartes sont moins chères chez Wal-Marde. Inutile de vous préciser que la patience-pro-gnochons ne figure pas au palmarès des mes plus grandes qualités.
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Deuxième conclusion: les gens qui visitent un salon comme les "Trouvailles de Noël" y vont en grande partie pour mémérer, et ceux qui achètent veulent des cadeaux qui sortent de l'ordinaire. Pas des cartes de voeux. Je n'ai vendu AUCUNE carte à un visiteur du salon. AUCUNE. J'en ai vendu quelques-unes à des artisans du salon, un mandala avec un chat à une des bénévoles du salon et un mandala à colorier à la dame du kiosque d'en face. Outre cela, que dalle. Rien du tout. Nada.
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Troisième conclusion: Ça m'a fait un peu de peine d'avoir investi autant de temps et d'argent pour rien. Puis, je me suis dit que ce n'était peut-être pas pour rien. Qui sait, peut-être ces gens se rappelleront-ils de moi lorsqu'ils auront besoin d'une belle carte ? Peut-être que quelques-uns de ces visiteurs auront le goût de s'inscrire à mon atelier-mandala dans deux semaines ou trois mois ? Peut-être que peut-être ?
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Quatrième conclusion: Dieu merci, je partageais mon kiosque avec un ange ! Bernie B. et moi avons démontré de façon éloquemment éclatante que les accomodements raisonnables étaient possibles même dans un salon d'artisans ! Bon, Bernie B. ne vient pas de l'Ouzbékistan, mais plutôt de Terre-Neuve, nous sommes donc en théorie des soeurs canadiennes. En théorie, oui. Mais dans les faits, le R.O.C. (Rest Of Canada), c'est un autre pays. Bref, nous avons beaucoup ri, et elle m'a pratiquement converti à sa religion... le scrapbooking !
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Cinquième conclusion: je ne démissionne pas des mandalas. Mieux encore, je vais trouver un moyen de vendre les 300 quelques cartes de Noël produites en prévision de ce salon. Et mieux mieux encore, je vais pousser sur l'atelier-mandala et l'offrir à des cercles de fermières, des écoles, des clubs d'âge d'or et que sais-je encore.
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Sixième conclusion: c'pas dur de flamber ses profits dans les kiosques de nos amis (si tant est qu'il y en ait eu, des profits). Je me suis acheté du savon artisanal à la lavande, un aimant en forme de cochon, peint à la main, ainsi qu'une très jolie bague que j'aurais probablement pu fabriquer moi-même mais qui n'aurait jamais été aussi quioute:
Septième conclusion: m'en vas m'coucher jusqu'à demain midi, pis je sors même pas pelleter l'***** de neige qui va ENCORE nous tomber dessus cette nuit ! Ciao ! :o)