Le Gala de l'ADISQ 2007 vu par une bitch, en 14 points
AVIS: Si vous appréciez lire des textes indulgents et/ou dithyrambiques et/ou complaisants à l'égard de la musique québécoise et de sa faune associée... passez votre tour et ne lisez pas ceci ! ;o)
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1. Les Trois Accords ne deviennent pas meilleurs en version symphonique.
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2. Le concept de la p’tite musique après une minute de remerciements… pourquoi diable avoir attendu 29 ans (29 ans !!!) avant de penser à ça ?
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3. Le résumé de l’Autre Gala (sur ARTV) sous forme de quiz… très drôle. Surtout la vacherie sur Frédérick De Granpré, qui selon Ariane Moffat est un bon… comédien. Même moi, la big bitch en chef, j’aurais pas mieux dit !
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1. Les Trois Accords ne deviennent pas meilleurs en version symphonique.
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2. Le concept de la p’tite musique après une minute de remerciements… pourquoi diable avoir attendu 29 ans (29 ans !!!) avant de penser à ça ?
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3. Le résumé de l’Autre Gala (sur ARTV) sous forme de quiz… très drôle. Surtout la vacherie sur Frédérick De Granpré, qui selon Ariane Moffat est un bon… comédien. Même moi, la big bitch en chef, j’aurais pas mieux dit !
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4. Scuzez, les amis, vous n’avez pas remarqué que vous êtes à un gala ? Vos jeans et vos chemises carreautées, vous pourriez garder ça pour aller bûcher, si ? Surtout Vincent Vallières… r‘garde, le grand, tu donnes une prestation dans un gala qui peut éventuellement te permettre de glaner de nouveaux fans… un peu de soin à la tenue ne nuit à personne. À ce chapitre, mes félicitations à Dumas : top classe.
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5. L’hommage à Patrick Norman… c’est quioute, bien sûr, et je me dois de vous avouer, un peu gênée, que je ne peux entendre la chanson "Quand on est en amour" sans brailler comme une vache (étant convenu qu’une vache puisse brailler, ce qui me semble plutôt incertain). Par contre, je suis loin d’être sûre que le monsieur, sans égards à ses talents évidents, peut prétendre trôner aux côtés des géants de la musique québécoise. Vraiment pas sûre. Mais félicitations quand même pour ses quarante ans de carrière, et surtout bravo pour être passé de quétaine de service à honoré au gala de l’ADISQ. Il doit mieux dormir, c’est sûr.
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6. Y’en a foutrement MARRE du sempiternel et annuel speech moralisateur des "autorités" de l’ADISQ ! Crissez-nous patience ! Arrêtez de quêter des deniers publics pour continuer d’alimenter une industrie sous respirateur artificiel. Arrêtez de vouloir nous culpabiliser de télécharger... et allez lire ça si vous voulez vraiment savoir ce que j’en pense. La citation du jour revient à Paul Dupont-Hébert, le nouveau président de l’ADISQ : "Personne ici ne souhaite que le gala de l’ADISQ soit présenté à Plattsburg." Quel commentaire insignifiant !??! On parle pas de la LNH, chose !
4. Scuzez, les amis, vous n’avez pas remarqué que vous êtes à un gala ? Vos jeans et vos chemises carreautées, vous pourriez garder ça pour aller bûcher, si ? Surtout Vincent Vallières… r‘garde, le grand, tu donnes une prestation dans un gala qui peut éventuellement te permettre de glaner de nouveaux fans… un peu de soin à la tenue ne nuit à personne. À ce chapitre, mes félicitations à Dumas : top classe.
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5. L’hommage à Patrick Norman… c’est quioute, bien sûr, et je me dois de vous avouer, un peu gênée, que je ne peux entendre la chanson "Quand on est en amour" sans brailler comme une vache (étant convenu qu’une vache puisse brailler, ce qui me semble plutôt incertain). Par contre, je suis loin d’être sûre que le monsieur, sans égards à ses talents évidents, peut prétendre trôner aux côtés des géants de la musique québécoise. Vraiment pas sûre. Mais félicitations quand même pour ses quarante ans de carrière, et surtout bravo pour être passé de quétaine de service à honoré au gala de l’ADISQ. Il doit mieux dormir, c’est sûr.
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6. Y’en a foutrement MARRE du sempiternel et annuel speech moralisateur des "autorités" de l’ADISQ ! Crissez-nous patience ! Arrêtez de quêter des deniers publics pour continuer d’alimenter une industrie sous respirateur artificiel. Arrêtez de vouloir nous culpabiliser de télécharger... et allez lire ça si vous voulez vraiment savoir ce que j’en pense. La citation du jour revient à Paul Dupont-Hébert, le nouveau président de l’ADISQ : "Personne ici ne souhaite que le gala de l’ADISQ soit présenté à Plattsburg." Quel commentaire insignifiant !??! On parle pas de la LNH, chose !
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7. Un jour, pas plus fou qu’un autre, Marco Calliari a estimé que le créneau ethnique était plus payant que le créneau métal québécois. Il a alors quitté Anonymus et s’est autoproclamé ambassadeur de la communauté italienne (en devenant entre autres porte-parole des restaurants Pacini). À la lumière de sa performance d’hier, je n’ai qu’une chose à dire au sujet de Marco Calliari : il manque singulièrement de souffle et il fausse affreusement. Pour faire du métal, passe encore, mais… bon.
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8. C’tu moi, ou Daniel Bélanger est comme… pas là ? Si la deuxième partie de son interprétation de "Télévision" m’a quelque peu rassurée, je me dois de vous avouer qu’il m’inquiète, le gentil Daniel. Son dernier album, musicalement génial, a par contre la fâcheuse tendance à me déprimer à mort. Je ne l’écoute donc plus, et c’est dommage.
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9. Le dialogue du duo Stefie-Chloé m’a semblé hautement déplacé. C’pas parce qu’on a accès à une tribune, avec des ministres et des élus dans la salle, qu’y faut en profiter, ou pire, en abuser. Le gala de l’ADISQ n’est pas la place pour revendiquer ou promouvoir quelque cause que ce soit outre la musique. Je suis bien sensible au combat que mène la chanteuse pour la cause des aidants naturels, mais je persiste à dire que ce n’était pas la place pour se faire du capital personnel.
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10. Je sais que c’est long, plus de trois heures assis dans une salle probablement surchauffée, et que ça doit être rough pour l’haleine. Mais votre crisse de chique, pourriez-vous la garder dans votre bouche et la mâcher discrètement, surtout quand vous êtes le "nominé" sur qui la caméra est braquée ?
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11. On en a plein l’cul d’Isabelle Boulay. Enfin, J’EN ai plein l’cul d’Isabelle Boulay. Faut croire que je dois être la seule, puisqu’elle a été élue Interprète féminine de l’année pour une sixième année consécutive. Me semble qu’y’en a d’autres chanteuses, au Québec ? La deuxième citation du jour lui revient : "On me demande souvent si on se lasse de recevoir des trophées à l’ADISQ… non non non !" You know, dear, la question serait plutôt de savoir si NOUS, on se lasse de te voir recevoir des trophées à l’ADISQ. Surtout quand tu réussis à dépasser de plusieurs secondes la tite-musique-de-fin-de-remerciements instaurée précisément pour contrer tes épanchements romantico-nunuches.
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12. Nicola Ciccone, Interprète masculin de l’année ??!? NICOLA CICCONE ?!??! What the hell, calvaire ? C’t’une joke, oui ? Weillons donc ? Je crois rêver. Faudrait qu’on me dise QUI vote. Qui sont ces gens qui prennent le temps de remplir un bulletin de vote pour l’ADISQ ? Quel est leur profil mental ? Ayoye.
7. Un jour, pas plus fou qu’un autre, Marco Calliari a estimé que le créneau ethnique était plus payant que le créneau métal québécois. Il a alors quitté Anonymus et s’est autoproclamé ambassadeur de la communauté italienne (en devenant entre autres porte-parole des restaurants Pacini). À la lumière de sa performance d’hier, je n’ai qu’une chose à dire au sujet de Marco Calliari : il manque singulièrement de souffle et il fausse affreusement. Pour faire du métal, passe encore, mais… bon.
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8. C’tu moi, ou Daniel Bélanger est comme… pas là ? Si la deuxième partie de son interprétation de "Télévision" m’a quelque peu rassurée, je me dois de vous avouer qu’il m’inquiète, le gentil Daniel. Son dernier album, musicalement génial, a par contre la fâcheuse tendance à me déprimer à mort. Je ne l’écoute donc plus, et c’est dommage.
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9. Le dialogue du duo Stefie-Chloé m’a semblé hautement déplacé. C’pas parce qu’on a accès à une tribune, avec des ministres et des élus dans la salle, qu’y faut en profiter, ou pire, en abuser. Le gala de l’ADISQ n’est pas la place pour revendiquer ou promouvoir quelque cause que ce soit outre la musique. Je suis bien sensible au combat que mène la chanteuse pour la cause des aidants naturels, mais je persiste à dire que ce n’était pas la place pour se faire du capital personnel.
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10. Je sais que c’est long, plus de trois heures assis dans une salle probablement surchauffée, et que ça doit être rough pour l’haleine. Mais votre crisse de chique, pourriez-vous la garder dans votre bouche et la mâcher discrètement, surtout quand vous êtes le "nominé" sur qui la caméra est braquée ?
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11. On en a plein l’cul d’Isabelle Boulay. Enfin, J’EN ai plein l’cul d’Isabelle Boulay. Faut croire que je dois être la seule, puisqu’elle a été élue Interprète féminine de l’année pour une sixième année consécutive. Me semble qu’y’en a d’autres chanteuses, au Québec ? La deuxième citation du jour lui revient : "On me demande souvent si on se lasse de recevoir des trophées à l’ADISQ… non non non !" You know, dear, la question serait plutôt de savoir si NOUS, on se lasse de te voir recevoir des trophées à l’ADISQ. Surtout quand tu réussis à dépasser de plusieurs secondes la tite-musique-de-fin-de-remerciements instaurée précisément pour contrer tes épanchements romantico-nunuches.
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12. Nicola Ciccone, Interprète masculin de l’année ??!? NICOLA CICCONE ?!??! What the hell, calvaire ? C’t’une joke, oui ? Weillons donc ? Je crois rêver. Faudrait qu’on me dise QUI vote. Qui sont ces gens qui prennent le temps de remplir un bulletin de vote pour l’ADISQ ? Quel est leur profil mental ? Ayoye.
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13. La chanson de l'année, par contre, dans le sens de "chanson la plus populaire de l'année qui de l'aveu même de ses créateurs a peut-être un peu trop tourné..." Mes Aïeux méritaient cet honneur. Et méritent les autres Félix qu'ils ont remporté, surtout quand on sait qu'ils ont été longtemps snobbé par la toute-puissante ADISQ. Une mention spéciale pour leur look irréprochable, ainsi que pour leurs remerciements intelligents. Enfin des artistes qui ont compris que lorsque tu es en nomination dans un gala, tu as au moins une chance sur cinq de gagner, et que tu as tout intérêt à te préparer un petit mot, quelque chose, tsé, juste pour ne pas avoir l'air d'un analphabète dysphasique pendant tes remerciements.
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14. Quant à ce cher Louis-José Houde… j’aurais peut-être apprécié qu’il se rase pour l’occasion (tu sais, mon chou, le look George Michael était à la mode… en 1984), mais il s’agit là de ma seule critique. Que voulez-vous, eull’aime, LJH. Même quand il n’est (rarement) pas drôle, il me fait rire. C’est tout dire. Merci d’avoir mis un peu de folie dans cette soirée !
14. Quant à ce cher Louis-José Houde… j’aurais peut-être apprécié qu’il se rase pour l’occasion (tu sais, mon chou, le look George Michael était à la mode… en 1984), mais il s’agit là de ma seule critique. Que voulez-vous, eull’aime, LJH. Même quand il n’est (rarement) pas drôle, il me fait rire. C’est tout dire. Merci d’avoir mis un peu de folie dans cette soirée !