Commentapub - version papier

Vous savez à quel point j'aime commenter la pub, qui plus souvent qu'autrement m'apparaît telllement insignifiante... Ben c'est pas différent pour les publicités écrites, que l'on retrouve entre autres dans les revues. Voici quelques perles qui m'ont récemment sautées au visage:

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Une pizza Casa di Mama... hawaïenne. "Des pizzas au goût maison, comme celles que faisait Mama". Ben quin. On s'entend-tu que Mama aurait jamais eu l'idée de mettre des ananas su sa pizza ? Come on. Mama, elle défriserait si on lui suggèrerait ça !

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Une réclame pour une quelconque gnochonne émission de radio montréalaise... Sonia Vachon, là... ça marche pas, c'photo-là. Ses comparses sont corrects, mais elle... J'imagine qu'on voulait lui mettre la craque en valeur ? Y'aurait eu d'autres moyens, éminemment plus subtils, que de tirer son chandail par en bas (observez la couture sur l'épaule) et de la faire se pencher d'même. Pas fort.

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Une publicité pour envoyer les migraineuses chez leur médecin...

On voit, en petits caractères, sous le pitch publicitaire, la mention suivante:

Wow. C'est le Festival International de la Crédibilité, ça.

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Ici, une pub pour une nouvelle revue (comme si le marché n'était pas déjà saturé de revue d'fefilles), où l'on voit Guylaine Tremblay... aux yeux de toute évidence (entoucas sur la version papier) informatiquement modifiés. Pâlis, pour être plus précis.

Parce que Guylaine Tremblay, dans la vraie vie, elle a les yeux bruns très foncés. Lui ont adouci le regard ? C'est con.
Ça me fait penser... Marie-France Bazzo, quand elle a commencé à faire de la télé, elle était brune. Naturellement brune. Ben "ils" (allez savoir qui) l'ont comme qui dirait "obligée" à se pâlir les cheveux, à carrément se blondir, pour adoucir son image. Et elle l'a fait. Frinchement.
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Ah pis ça, là... Du Bailey's Café. J'veux même pas savoir que ça existe. Bon.