Trois coups d'coeur et... un coup d'masse
Je vais commencer, si vous me le permettez, par le coup d'masse. Question de se débarrasser des affaires plates en partant.
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Bon. CSI Vegas, j'en ai plein mon truck. Tout ce que j'aimais de cette émission a disparu, comme la psychologie des personnages fouillée et lentement révélée... Catherine, qui n'a plus aucune espèce de texture (ni d'intérêt) depuis que son père est mort... Warrick emberlificoté dans un invraisemblable complot... Et que dire de la disparition de Sara ? Sacrilège. Mon personnage préféré, en plus... pffuiiit. J'ai passé tout un épisode les yeux fermés, écoeurée (celui des combats de chiens), et j'éprouvais de plus en plus de difficultés à écouter un épisode au complet... Alors j'ai décidé: fini, CSI. J'écoute pus. F-i-fi, n-i-ni. Bon.
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Les coups d'coeur, maintenant:
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Je n'ai jamais eu de parfum de ma vie, parce qu'à chaque fois que j'en essayais un, ça tournait au cauchemar olfactif. J'ai une peau très acide, et chaque parfum essayé dans le passé finissait par tourner, et me faire dégager une très odieuse odeur de mouffette... pouark. J'avais fini par abandonner l'idée. Puis, en septembre dernier, ma mère m'a ramené de son voyage à Paris un échantillon de parfum joliment appelé Eau du Bonheur. J'ai pris le risque d'essayer, des fois que... oh ! Miracle, la madame sentait full bon ! Mais j'allais vite déchanter: ce parfum n'est disponible nulle part au Québec, et les nouvelles dispositions des douanes empêchent maintenant la maison Fragonard d'expédier du parfum par avion. Snif. Par contre, rassénérée par l'expérience, je me suis mise à chercher une odeur qui me ferait aussi bien, mais qui se trouverait facilement ici. Ça a pris du temps, ça a pris des échecs nauséabonds, mais... j'ai trouvé. Chez Fruits et Passion, la collection Buriti. Houlalala que la madame aime ça. Et bordel que la madame sent bon. Pour tout dire, la madame est rendue parfumholique.
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Les deux autres coups de coeur sont de nature musicale. D'abord, Ian Kelly. J'ai fait sa connaissance grâce au clip de la pièce Wiser Man, qui m'est rentré direct dedans. Puis, j'ai su qu'il était montréalais (ce qui explique probablement pourquoi aucune de ses chansons n'était trouvable sur LimeWire). Enfin, ma très chère cousine Josée m'a appris qu'elle avait réservé le disque en question à la bibliothèque il y a un moment, sans trop savoir, à la pêche musicale. Et qu'elle avait le disque en main, là, maintenant. Oh yeah. C'est tellement bon que le disque fait d'la boucane à force de tourner dans l'lecteur. Et ça a été illico inscrit sur la liste des trucs-à-acheter-de-toute-urgence-quand-fonds-disponibles.
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Juste en-dessous de Ian Kelly, sur cette liste, se trouvent... Kings of Leon. Encore une fois grâce à un clip, la toune Sex on Fire est venue à mes oreilles. ÔW ! Tellement trop bon ? Et grâce à ce cher LimeWire, j'ai pu me familiariser avec l'oeuvre de ce groupe originaire du Tennessee. J'aime tellement ça découvrir un groupe ou un artiste qui me fait tripper toune après toune, c'est comme un peu tomber (musicalement) en amour à chaque fois. Et ça me confirme que rien, mais absolument rien, ne me fait vibrer comme la musique. Sans musique, je mourrais.
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Bon. CSI Vegas, j'en ai plein mon truck. Tout ce que j'aimais de cette émission a disparu, comme la psychologie des personnages fouillée et lentement révélée... Catherine, qui n'a plus aucune espèce de texture (ni d'intérêt) depuis que son père est mort... Warrick emberlificoté dans un invraisemblable complot... Et que dire de la disparition de Sara ? Sacrilège. Mon personnage préféré, en plus... pffuiiit. J'ai passé tout un épisode les yeux fermés, écoeurée (celui des combats de chiens), et j'éprouvais de plus en plus de difficultés à écouter un épisode au complet... Alors j'ai décidé: fini, CSI. J'écoute pus. F-i-fi, n-i-ni. Bon.
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Les coups d'coeur, maintenant:
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Je n'ai jamais eu de parfum de ma vie, parce qu'à chaque fois que j'en essayais un, ça tournait au cauchemar olfactif. J'ai une peau très acide, et chaque parfum essayé dans le passé finissait par tourner, et me faire dégager une très odieuse odeur de mouffette... pouark. J'avais fini par abandonner l'idée. Puis, en septembre dernier, ma mère m'a ramené de son voyage à Paris un échantillon de parfum joliment appelé Eau du Bonheur. J'ai pris le risque d'essayer, des fois que... oh ! Miracle, la madame sentait full bon ! Mais j'allais vite déchanter: ce parfum n'est disponible nulle part au Québec, et les nouvelles dispositions des douanes empêchent maintenant la maison Fragonard d'expédier du parfum par avion. Snif. Par contre, rassénérée par l'expérience, je me suis mise à chercher une odeur qui me ferait aussi bien, mais qui se trouverait facilement ici. Ça a pris du temps, ça a pris des échecs nauséabonds, mais... j'ai trouvé. Chez Fruits et Passion, la collection Buriti. Houlalala que la madame aime ça. Et bordel que la madame sent bon. Pour tout dire, la madame est rendue parfumholique.
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Les deux autres coups de coeur sont de nature musicale. D'abord, Ian Kelly. J'ai fait sa connaissance grâce au clip de la pièce Wiser Man, qui m'est rentré direct dedans. Puis, j'ai su qu'il était montréalais (ce qui explique probablement pourquoi aucune de ses chansons n'était trouvable sur LimeWire). Enfin, ma très chère cousine Josée m'a appris qu'elle avait réservé le disque en question à la bibliothèque il y a un moment, sans trop savoir, à la pêche musicale. Et qu'elle avait le disque en main, là, maintenant. Oh yeah. C'est tellement bon que le disque fait d'la boucane à force de tourner dans l'lecteur. Et ça a été illico inscrit sur la liste des trucs-à-acheter-de-toute-urgence-quand-fonds-disponibles.
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Juste en-dessous de Ian Kelly, sur cette liste, se trouvent... Kings of Leon. Encore une fois grâce à un clip, la toune Sex on Fire est venue à mes oreilles. ÔW ! Tellement trop bon ? Et grâce à ce cher LimeWire, j'ai pu me familiariser avec l'oeuvre de ce groupe originaire du Tennessee. J'aime tellement ça découvrir un groupe ou un artiste qui me fait tripper toune après toune, c'est comme un peu tomber (musicalement) en amour à chaque fois. Et ça me confirme que rien, mais absolument rien, ne me fait vibrer comme la musique. Sans musique, je mourrais.