Médaille d'or !

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Avec un souhait, un seul: soyez heureux, tous !
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Une publicité pour envoyer les migraineuses chez leur médecin...
Parce que Guylaine Tremblay, dans la vraie vie, elle a les yeux bruns très foncés.
Lui ont adouci le regard ? C'est con.
Ça me fait penser... Marie-France Bazzo, quand elle a commencé à faire de la télé, elle était brune. Naturellement brune. Ben "ils" (allez savoir qui) l'ont comme qui dirait "obligée" à se pâlir les cheveux, à carrément se blondir, pour adoucir son image. Et elle l'a fait. Frinchement.
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Ah pis ça, là... Du Bailey's Café. J'veux même pas savoir que ça existe. Bon.
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Le chanteur de Rammstein, Till Lindemann...
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2- Into the mystic – Colin James (2005)
Une autre reprise... mais celle-là, franchement, c’est la reprise des reprises. Cent fois meilleure que l’originale, à mon goût à moi, bien entendu. Et quand Colin en a gratté les premières mesures, lors d’un show où je ne m’attendais pas à l’entendre, j’ai eu les yeux plein d’eau. Je trouve que la voix de Colin n’est jamais aussi belle ni jamais aussi vraie que lorsqu’il donne dans la complainte, et Into the mystic en est l’exemple parfait. Ici...
3- Out of this world – Marillion (1995)
Bon, je sais que j’ai déjà dit qu’il me serait impossible de choisir ma toune préférée de Marillion. C’est vrai. Mais à la limite, s’il me fallait a-b-s-o-l-u-m-e-n-t choisir, genre si c’était une question de vie ou de mort ou d’un seul disque à emmener sur une île déserte (ce qui revient pas mal au même, doit-on en convenir), je choisirais Out of this world. Et à mon humble avis de fan finie, je pense que nous trouvons ici le meilleur bordel de solo de guitare de Steve Rothery. Et il y a des mots dans cette pièce… des mots qui me rappellent quelqu’un, des mots qui me rappelle quelque chose… M’enfin. Ici...
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So we live you and i
Either side of the edge
And we run and we scream
With the dilated stare of obsession and dreaming
What the hell do we want is it only to go
Where nobody has gone
A better way than the herd
Sing a different song
Till youre running the ledge
To the gasp from the crowd
Spinning round in your head
Everything that she said...
4- The Pot – Tool (2006)
J’aime le progressif. J’aime le métal. Or, Tool s’adonne au métal progressif. Que voilà un mix de genres qui me parle, wouahou ! En ce qui me concerne, c’est la meilleure toune du genre. Et, il me faut l’admettre, The Pot constitue pour moi un gros fantasme... Oui, enfin, bon, disons que ce chef-d’œuvre me donne le goût de jouer de la bass (encore !) et (c’est ici, le fantasme) de performer ça live, devant une grosse grosse foule, juste pour ressentir ce qui revient, comme énergie… Ici...
5- Cold Metal – Ayreon (2000)
Le métal froid, c’est une track de chemin de fer. La drôle de voix qui entonne cette douloureuse mélopée, c’est une fille qu’en a marre d’la vie et qui préfère encore crever que de souffrir, tout l’temps, tout l’temps. Cette chanson vient toucher une noirceur en moi, cette absence absolue de lumière qui à défaut d’être efficacement éradiquée revient périodiquement me hanter… Quand ça arrive, quand ce trou en moi devient béant, quand ce trop-plein en moi déborde, quand j’ai toujours plus de questions que de réponses, quand je me dis qu’à mon âge, je devrais avoir trouvé ma voie, avoir trouvé ma vie… j’écoute Cold Metal. Très fort. Et ça me fait du bien, toujours. Toujours. Ici...
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8- Surrender – Elvis Presley (1961)
Si j’étais une vedette, j’aurais sûrement l’occasion de me faire poser tout un tas de questions, certaines plus pertinentes que d’autres. Et à la question "Quelle est votre chanson préférée d’Elvis Presley?", je répondrais sans hésiter : Surrender ! Ça dure moins de deux minutes, et c’est en ce qui me concerne du temps de pur bonheur. Ici...
9- Orion – Metallica (1986)
Dire que le génial bassiste Cliff Burton n’avait que 24 ans quand il est tragiquement mort, pas tellement longtemps après la sortie de ce classique du métal… ah pis tiens, tant qu’à en parler, si vous avez l’goût de vous taper LE solo de bass de l’histoire de la musique, cliquez ici. Bon. Parlons d’Orion, maintenant. Dès la première écoute, et très étrangement, je me suis dit que ça serait la toune parfaite pour mes funérailles. Don’t ask, je ne sais pas pourquoi. Sans jamais comprendre en quoi exactement, j’ai toujours eu l’impression que cette pièce me ressemblait, autant dans ses moments forts, intenses, que dans ses passages plus paisibles. D’où le désir qu’elle joue lors de mon départ… et aussi dans le désir secret de voir défriser quelques matantes. Ah ha ! Ici...
10- Run like hell – Pink Floyd (1988)
Je n’ai jamais eu le bonheur de voir Pink Floyd live. Mais juste pour vivre cette toune en direct, je ferais bien quelques kilomètres sur les genoux. Et je me souviens que plus jeune, à l'époque où je n'avais pas encore ce disque, je demandais à ma cousine Josée de me la faire jouer, sur le gros système de son de ses parents, encore et encore... ah, c’est juste trop bon, batêche ! Ici...
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12- Credo – Fish (1991)
Ah, Fish... Il se dégage un tel charisme de ce grand Écossais que c’en est presque palpable. Derek William Dick de son vrai nom, c’est avec lui à la barre que Marillion a connu ses premiers succès commerciaux (et ses derniers, faut-il malheureusement le dire). En quittant le groupe (ou en s’en faisant mettre à la porte, selon les versions), Fish a entamé ce qui allait s’avérer une fructueuse carrière solo. Credo figure sur l’excellent disque Internal Exile (j’adore ce titre), et j’ai bien dû écouter cette toune des millions de fois. Ici...
13- What does it take – Honeymoon Suite (1986)
Il y avait une émission de vidéoclips, canadienne, anglophone, tard le vendredi soir, je ne me souviens plus du titre de l’émission, l’animateur était un grand blond, j’avais la permission de me coucher très tard juste pour l’écouter… Bref, c’est là que j’ai découvert le groupe canadien Honeymoon Suite. C’était le clip de la pièce Wave babies (c’est plein d’pitounes en bikini, ça devrait vous intéresser, les gars), tiré de leur premier album éponyme paru en 1984. Mais… nous parlons de What does it take, ici, là… J’pas capable d’entendre ça sans avoir les yeux pleins d’eau. Il me vient un tas d’images de ma jeunesse évaporée... Comme la première fois où je les ai vus en show, à l’Agora du Vieux-Port, en 86 : mes copines et moi avions passé la journée là, il faisait tellement beau, on avait assisté de loin au soundcheck, puis nous avions vu, abasourdies, les gars du groupe approcher de nous : ils se dirigeaient vers la bâtisse voisine, question de se sustenter avant le spectacle. On a jasé avec eux, ils ont autographié nos t-shirts, ils avaient été vraiment très sympas, pas pressés pour deux sous, amicaux, généreux, bref, des bons gars. Un show fabuleux. Mais What does it take, c’est encore plus que ces souvenirs, pour moi… C’est l’essence même de la nostalgie. De ces jours où on avait tellement toute la vie devant nous qu’on ne se figurait même pas ce que c’était, vieillir… ces jours où notre vie n’était qu’un perpétuel présent… Je vivais les meilleures putains d’années de ma vie, et j’le savais même pas. Ici...
14- Secret world (live) – Peter Gabriel (1994)
Cette pièce me fait... m’a toujours fait... me fait toujours… me fera probablement tout l’temps… je sais pas, me fait quelque chose que je n’arrive même pas à nommer. Surtout ces mesures où, sur la scène, tout le monde se mets à tourner… ça me frissonne de partout. Et quand Peter dit "schhhuuut, listen", et que la basse hallucinante de Tony Levin embarque, et que ça repart en grand… Bref, eul’aime. Hors de tous les mots possibles. Ici...
15- Precious things – Tori Amos (1992)
Tiens, encore une toune "découverte". Parce que c’est grâce à Precious things qu’encore une fois j’allais faire connaissance avec une femme dont l’œuvre allait hanter mes oreilles. Ici... (P.S. Pas de clip pour l’originale de cette toune, juste des versions live et un pas/rapport/clip/manga…)
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17- These eyes – Gowan (1997)
Tiens, encore une reprise que je préfère de loin à l’originale ! La vision que Lawrence Gowan a de These eyes est, comment dire… nettement plus sexy. Et tellement personnelle. Moi, les reprises calquées sur l’originale, ça m’emmerde. Tant qu’à reprendre une toune, emmène-moi ailleurs, montre-moi ce qu’elle te fait à toi, donne-lui une nouvelle dimension. Toutes choses que l’on retrouve dans ce cas-ci, et qui fait qu’il s’agit là d’une de mes chansons préférées du Canadien devenu chanteur… de Styx (oui, je sais, saugrenu... mais bon). Au fait, la douce guitare, vers la fin, vaut la peine de s’y rendre (à la fin, j’veux dire). Ici...
18- Pigeon – Jean Leloup (1996)
Encore issue de l’album Le dôme, Pigeon est sans contredit la toune de Leloup qui me fait le plus tripper. Il y a là une magie qui opère indéniablement entre le beat irrésistible et l’histoire que le Loup nous raconte. Ce don de savoir raconter une histoire, d’être capable de relater un fait, parfois plus ou moins anodin, en l’enjolivant, voire l’illuminant avec des mots qui transfigurent la réalité… bref, Leloup l’a, ça, et d’aplomb. Ici...
19- Moun Madinina – Mino Cinelu (2000)
2001... Mon premier été à Montréal… mon premier Festival de Jazz… nuit chaude et humide… parfaite pour la musique enivrante de Mino Cinelu… idéale pour la présence irradiante de ce magnifique musicien… souvenirs impérissables. Mmm. Ici...
20- Fumbling towards ecstasy (live) – Sarah McLachlan (1999)
J’aime bien l’ensemble de l’oeuvre de la jolie Canadienne, mais je ne l’apprécie jamais autant que quand ça distorsionne un p’tit peu, quand elle s’emporte et sort un tantinet de ce carcan de gentille fille sage qui est un peu (et à tort, je pense) sa marque de commerce. Et j’aimerais bien chanter, comme elle, qu’I won’t fear love… *soupiiiiir* Ici...
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22- Brother L.A. – Daniel Lanois (1993)
Cette excellente toune figure sur mon album favori de Lanois, For the beauty of Winona. Elle fait aussi partie des tounes dont je n’ai pas grand-chose à dire parce que trop occupée à écouter. Et à chanter. Et à jouer du air drum. Et à tripper. Ici... (Daniel Lanois qui, au fait, remporte ici la palme de la pochette de disque la plus étrange de l'univers...)
23- A different corner – George Michael (1986)
À ce que je saches, c’est une toune de George qui est pratiquement inconnue, mais à mon goût, c’est une des meilleures. J’allais au Couvent, je trippais sur un garçon dont je ne me souviens même plus le nom… chaque soir je me passais cette chanson en boucle en rêvassant de longues marches sur la plage, et de toutes ces niaiseries cucu-la-praline dont rêvent les flounes de 14 ans naïvement inexpérimentées de la vie réelle… *re-soupir* Ici...
24- The last straw – Marillion (1987)
N’allez jamais oser me demander de choisir quelle est MA toune de Marillion, parce que vous m’infligeriez un atroce supplice. Sans blague. The last straw, disons, serait dans mon TOP-5 des tounes du britannique band. Dont ce fut d’ailleurs le dernier album avec Fish comme chanteur. Mon boutte préféré de cette toune préférée, ce sont ces (pas assez longues) secondes, à la fin, où embarque la chanteuse Tessa Niles, dont la voix me donne plus que des frissons. En fait, si j’avais pu être chanteuse, c’est d’une voix comme ça dont j’aurais rêvé. Ici...
25- Walking in London – Concrete Blonde (1992)
Chanson titre d’un album dont je vous ai déjà parlé ici, Walking in London est la toune de Concrete Blonde qui les représente le mieux, je trouve. Un beat fort, une ambiance tendance gothique, une bonne grosse basse bien grasse, un texte un brin torturé si bien rendu par la un brin torturée Johnette… bref, c’est bon. Ici...
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27- Vanishing – A Perfect Circle (2003)
Hummmm… J’ai beau adorer la guitare, si j’avais pu, c’est de la basse que j’aurais joué. Enfin, si d’aventure j’avais eu les doigts plus longs que pour jouer du yukulélé… Et Vanishing aurait certainement été une des mes tounes préférées à jouer : la ligne de basse est évidente, puissante, irrésistible. Du pur mioum pour les oreilles ! Ici...
28- A spaceman came travelling – Chris de Burgh (1975)
Ce que j’aime le plus de Chris de Burgh, c’est son étonnante capacité à raconter des histoires... et celle-ci est très jolie, tant au niveau du propos que de la mélodie. Et elle figure sur ce qui est à mon avis l’un des meilleurs disques de l’histoire de la musique : Spanish Train and other stories, qui même si paru en 1975 ne se démode pas d’un poil. Ici... (le clip est hautement pas rapport... mais très rigolo !) 29- For whom the bell tolls – Metallica (1984)
Que je vous mette en contexte: j’ai eu le très grand privilège d’avoir une enfance bénie. Cette bénédiction s’est entre autres exprimée par le fait de grandir dans une famille élargie nombreuse, et de faire partie d’une fratrie reconstituée, en quelque sorte. Nous sommes cinq cousins/cousines d’âges rapprochés qui ont passé pratiquement toute leur enfance à jouer ensemble. En ordre d'âge: moi, l’aînée d’la gang, mon cousin Sylvain, ma cousine (et sœur de Sylvain) Josée, mon frère Martin et ma cousine Mélanie. Mélanie d'ailleurs qui a coutume de dire que même si elle est enfant unique, nous sommes ses frères et soeurs... À nous cinq, disons que nous avons assez de souvenirs pour passer plusieurs soirées à se les raconter ! Bref, nous nous trouvions dans la chambre de Sylvain, on avait 10-11-12-13 ans, on brettait, je pense que c’était l’époque où Sylvain s’adonnait au C.B. Un moment donné, j’entends des cloches qui sonnent, suivies d’un riff de guitare… Je demande à Sylvain, mais quessé ça, don ? Il me répond : Metallica. Je fais : Metallica ? Il fait : han han, Metallica. Vous devinez ce que je m’en vais vous dire, hein ? Bah ouais. Metallica venait de faire son entrée triomphante dans ma vie. Jusqu’au Black Album, entoucas. Parce qu’après ça, barf, vraiment, j’embarque pas trop. Mais le vieux Metallica, ouah ! Ici... 30- Inséparables mais - Arthur H (2000)
Ah, Arthur H et sa voix… non mais quelle voix. Et quel groove, bordel de Dieu ! Inséparables mais est une des meilleures tounes francophones de l’univers, à mon goût. Et cette guitte… houlà, cette guitte me donne des frissons de plaisir… à écouter très fort ! Oh, inséparables, oui mais, séparés… Inattendu, mais… espéré... Ici...
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